Archives pour la catégorie Running Man

ALBUM PHOTO : RUNNING MAN (1987)

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(CosmoFiction – morbius501@gmail.com)

PAROLES : ROB COHEN ET « RUNNING MAN »

PAROLES : ROB COHEN ET Rob Cohen, l’un des producteurs de RUNNING MAN (1987) avec Keith Barish, s’exprime ici sur les raisons qui l’ont conduit à produire le film de Paul Michael Glaser : « J’avais tout de suite vu qu’on pouvait en tirer un film d’action qui avait quelque chose à dire dans un contexte un peu futuriste sans pour autant plagier BLADE RUNNER. On pouvait faire quelque chose de beaucoup plus intéressant en montrant ce qui pourrait arriver si la télévision et le Gouvernement ne faisaient qu’un : l’instrument utilisé par le Gouvernement pour détourner l’attention des problèmes sociaux retrouverait la grande tradition des combats dans l’arène tels qu’ils se pratiquaient jadis. Les idées développées par le film importe plus que les effets spéciaux, à moins d’admettre que les idées sont les effets spéciaux du film, puisqu’il y est question de la façon dont la vidéo peut manipuler la vérité et la vie. Mais je ne tiens pas à faire de la politique : on peut ignorer cet aspect des choses. Tout ce que je veux, c’est parvenir à un équilibre intéressant. On trouve dans le film toute la violence, toutes les cascades nécessaires pour en assurer le succès commercial. »

(L’Écran Fantastique n°74 – novembre 1986) (CosmoFiction - morbius501@gmail.com)

COSMOCRITIQUE : RUNNING MAN (1987)

COSMOCRITIQUE : RUNNING MAN (1987) dans CINÉMA 14011101120715263611887117

La catégorie Cosmocritique accueille les anciennes « critiques » publiées dans les numéros des années 80 de CosmoFiction Fanzine. L’équipe était alors très jeune. Notre passion se lisait à travers nos textes et notre engouement aveuglait parfois notre sens critique ! Mais peu importe, au moins nous vivions intensément nos rêves sans nous soucier du « qu’en-dira-t-on ».

running1RUNNING MAN (THE RUNNING MAN) représente sans doute l’un des films les plus moyens de la grande carrière d’Arnold Schwarzenegger. Honnête, sans coup d’éclat, version américaine du PRIX DU DANGER d’Yves Boisset (1982), il fut réalisé par un certain Paul Michael Glaser, le célèbre Starsky de STARSKY ET HUTCH. Voici la critique de P.E.C. parue dans CosmoFiction Fanzine numéro 2 de juin 1988.

L’histoire : « Los Angeles, 2019. Des candidats, sélectionnés parmi la population carcérale, s’affrontent à mort dans le cadre d’une émission de télévision à succès. » (AlloCiné)

Il court, il court le Schwarzy ! Oui, il court, et il va finir par s’épuiser à force d’enchaîner superproductions après superproductions. Bon, on ne peut tout de même pas lui reprocher de s’adonner à fond dans la SF, mais il faudrait peut-être qu’il songe à se sortir de ces personnages incorruptibles, inflexibles, toujours prêts à lutter pour le bon droit et qui finissent à chaque fois par gagner… On pouvait tout de même attendre quelque chose d’autre après TERMINATOR, non ? D’accord : je ne vais pas critiquer Schwarzy car RUNNING MAN est un très bon film qui se veut inspiré de BLADE RUNNER et du PRIX DU DANGER. Cependant, si RUNNING MAN est un spectacle efficace, il n’arrive pas à la hauteur de BLADE RUNNER, et si l’action se déroule à deux cents à l’heure, si la mise en scène est très stylisée et l’histoire originale, tout n’est que prétexte pour nous montrer l’inébranlable running2Arnold, seul, prêt à combattre pour la bonne cause et pour essayer de sauver ce monde de la pénurie ; car à cette époque, la pauvreté règne presque partout, et tout l’argent est misé dans des jeux télévisés, ou est concentré chez des riches. Enfin, tout cela a peu d’importance puisqu’en fait, durant tout le film, Arnold se dépatouille avec des traqueurs qui veulent le réduire à l’état de Monsieur Muscle Usagé. Cela pour le bonheur des télespectateurs de l’émission « Running Man ».

À noter que RUNNING MAN nous permet de retrouver Yaphet-ALIEN-Kotto en très grande forme, et nous fait quand même passer un excellent moment…

Pour vous, la grande question est encore : « Schwarzy va-t-il s’en sortir ? »… Ah, ah ! Je le sais, moi !

- Paul-Étienne - (CosmoFiction)

(Le film est disponible en entier, et en version française, ici.)

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