CASIERS JUDICIAIRES EN VRAC DE SERIAL-KILLERS DES 80′s – partie 2
Suite des casiers judiciaires partie 1 où Trapard examine les cas les plus douloureux de l’histoire des serial-killers des 80′s. Attention, ça va saigner…
Vous trouverez avant tout dans cette liste les Tueurs de Slashers dont l’identité est connue tout le long des films, à la différence des criminels de Giallo dont l’identité n’est dévoilée qu’à la fin des enquêtes. S’il s’agit d’un Tueur de Slasher à l’identité révélée qu’en fin de film, nous indiquerons uniquement son Surnom de criminel.
CASIERS JUDICIAIRES EN VRAC DE SERIAL-KILLERS DES 80′S – Partie 2
Nom : Le Tueur de Rosemary
Famille : Inconnue, exceptée Rosemay, son ex-petite amie qui lui a écrit une douloureuse lettre de séparation alors qu’il était engagé sur le front pendant la Seconde Guerre mondiale. En revenant du front, il tue Rosemary ainsi que le nouvel amant de celle-ci.
Signes particuliers : Traumatisé par la guerre comme par sa séparation d’avec Rosemary (son espoir dans le retour au pays), il tue désormais les amoureux à chaque bal de fin d’année dans la ville d’Avalon Bay, jour-même de la mort de Rosemary. Il exécute ses crimes vêtu de son son casque et de son uniforme de G.I. On peut lui trouver quelques vagues similitudes avec Andy Brooks de retour du Vietnam dans DEAD OF NIGHT (1974) ou avec Sam Harper de retour de la Guerre du Golf dans UNCLE SAM (1997), mais le traumatisme du Tueur de Rosemary est plus directement lié à une relation amoureuse qu’il tente d’exorciser. Après chaque exécution d’une jeune femme, le tueur dépose une rose rouge symbolique sur le cadavre de celle-ci.
Armes des crimes : Une fourche ou une lame de baïonnette de l’US Army.
Victimes préférées : Les jeunes tourtereaux, et plus particulièrement les jeunes femmes.
Film : ROSEMARY’S KILLER (1981) ou THE PROWLER de Joseph Zito.
Nom : BADGER
Prénom : Kevin
Famille : Ses parents semblent toujours absents, et il vit avec sa grand-mère sourde qui passe son temps devant la télévision. Sa petite-amie Laura est morte d’épuisement lors d’une course de fond au collège, et Kevin garde son corps en décomposition dans sa chambre.
Signes particuliers : Depuis le décès de sa petite-amie, Kevin Badger trucide les jeunes de son collège en chronométrant la vitesse de ses exécutions meurtrières.
Armes des crimes : Toutes sortes de lames et toujours en rapport avec les différentes disciplines sportives.
Victimes préférées : De jeunes athlètes.
Film : GRADUATION DAY (1981) d’Herb Freed (Troma Entertainment).
GRADUATION DAY EN ENTIER EN V.O.
Nom : Monsieur SLAUSEN
Famille : Des mannequins en plastique qui lui parlent.
Signes particuliers : Aubergiste psychotique vivant entouré de mannequins en plastique et doté de pouvoirs de télékinésie. Il exécute ses crimes en portant un masque de poupée.
Armes des crimes : À mains nues ou à l’aide de la télékinésie. Il recouvre et étouffe ses victimes à l’aide d’une pâte plastique, du genre mastic.
Victimes préférées : De jeunes bourgeois-bohèmes de préférence.
Film : TOURIST TRAP (1979) aka LE PIÈGE de David Schmoeller (Empire Pictures).
TOURIST TRAP EN ENTIER EN V.O.
Nom : The Boogeyman
Famille : Il était l’amant de la mère de Willy et Lacey.
Signes particuliers : Tué par Willy alors enfant, tandis que sa sœur Lacey assistait à la scène… mais dans le reflet d’un miroir. Vingt ans plus tard, le miroir est retrouvé et brisé, libérant l’âme damnée du défunt qui ne souhaite plus qu’une chose : se venger. The Boogeyman est le croquemitaine et alors que Freddy Krueger circule par le biais des rêves, The Boogeyman survit grâce aux souvenirs et aux reflets des miroirs.
Armes des crimes : Un peu tout ce qui peut tuer et qui se trouve à proximité d’un miroir.
Victimes préférées : N’importe qui fait refléter son image dans un miroir.
Films : La saga THE BOOGEYMAN (1980-1981-1983) aka SPECTRE d’Ulli Lommel.
BANDE-ANNONCE DE THE BOOGEYMAN
Nom : KOHLER
Prénom : Donald
Famille : Une mère qui le martyrisait lorsqu’il était enfant, en lui infligeant de graves brûlures.
Signes particuliers : Dominé psychologiquement par sa mère et ce jusqu’à un âge avancé, c’est au décès de celle-ci que Donald Kohler développe un trouble psychotique en vouant aux femmes une haine tenace et qu’il ne peut s’empêcher d’en inviter chez lui pour les brûler au lance-flamme. Paranoïaque, il est constamment persuadé que sa mère est encore en vie et qu’elle surveille ses faits et gestes. La même année (1980), rôdait dans les rues new-yorkaises un autre tueur, brûlant les voyous au lance-flamme en la personne de John Eastland, un traumatisé par la violence de la guerre du Vietnam dans LE DROIT DE TUER (The Exterminator).
Arme des crimes : Le lance-flamme.
Victimes préférées : Toutes les femmes.
Film : PYROMANIAC (1980) ou DON’T GO IN THE HOUSE de Joseph Ellison.
DON’T GO IN THE HOUSE EN ENTIER EN V.O.
Nom : KNIESEK
Prénom : Werner
Famille : Inconnue. Il a été interné pour avoir tenté de tuer sa mère. Il fait souvent des allusions paranoïaques à sa grand-mère, à ses parents, à son beau-père et à sa sœur. Chaque nouveau crime qu’il commet semble lui rappeler le massacre potentiel qu’il aurait effectué sur sa famille. Cependant son dossier médical indique que Werner aurait été supprimé par sa grand-mère à sa mère alors qu’il était nourrisson.
Signes particuliers : Schizophrène paranoïaque, il interprète le monde à son bon plaisir. Il aime se créer des enjeux dans chaque crime qu’il entreprend.
Arme des crimes : Avec une cordelette qui lui sert à étrangler ses victimes ou avec un couteau de cuisine.
Victimes préférées : Toutes ! Sans aucune distinction ni discrimination.
Film : SCHIZOPHRENIA (1983, Angst) de Gerald Kargl.
Nom : OGROFF
Famille : Inconnue.
Signes particuliers : Ogroff a été trépané et il a subi l’ablation d’un œil durant la guerre. C’est un bûcheron qui continue sa guerre en massacrant sauvagement tous ceux qui pénètrent dans SA forêt. Il les torture et les découpe en morceaux et en nourrit son chien ainsi qu’une horde de zombies qu’il tient enfermés dans une cave.
Armes des crimes : Une hachette et une tronçonneuse. Il utilise aussi une scie à bois sur la nuque d’un enfant.
Victimes préférées : Tous ceux qui pénètrent dans « sa forêt ».
Film : MAD MUTILATOR (1983) aka OGROFF de Norbert Moutier.
BANDE-ANNONCE DE MAD MUTILATOR
Nom : CHAPMAN
Prénom : Billy
Famille : Ses parents ont été assassinés par un meurtrier déguisé en Père Noël alors qu’ils revenaient en famille de la maison de retraite où résidait son grand-père légèrement dérangé.
Signes particuliers : Il est traumatisé par l’image du Père Noël depuis la mort de ses parents, au point de se prendre pour l’assassin de ses parents, un soir de réveillon alors qu’il est éméché et jaloux. Il voit le soir de Noël comme un jour de Rédemption. Billy Chapman est sûrement un cousin éloigné d’Harry Stadling dans CHRISTMAS EVIL (1980) de Lewis Jackson.
Armes des crimes : Par strangulation avec des guirlandes de Noël, avec une hache de bûcheron, un cutter et autres objets contondants.
Victimes préférées : Les amoureux des soirs de Réveillon.
Films : La saga DOUCE NUIT, SANGLANTE NUIT (1984-1987-1989-1990-1991, Silent Night, Deadly Night).
Nom : KARAMANLIS
Prénom : Nikos
Famille : Inconnue.
Signes particuliers : C’est un psychopathe anthropophage qui, après avoir tué un par un chaque habitant du petit village de l’île de Grèce sur laquelle il vit, les a dévoré pour se nourrir. Il dévore les humains sans même les tuer au préalable, et quelques fois et il n’hésite pas à extirper un fœtus du ventre d’une mère pour s’en faire un casse-dalle plein de vitamines.
Armes des crimes : Tout ce qui est contondant ou à mains nues et à pleines dents parfois.
Victimes préférées : Il tue et dévore tous les touristes de passage sur son île réputée comme paradisiaque.
Film : ANTHROPOPHAGOUS (1980) aka THE GRIM REAPER de Joe D’Amato.
ANTHROPOPHAGOUS EN ENTIER EN V.O.
Divers titres des 80′s avec des tueurs en série non indiqués dans cet article :
1978 – LES YEUX DE LAURA MARS (Eyes of Laura Mars) – MEURTRE AU 43ème ÉTAGE (Someone’s Watching Me!) – 1979 -INFERNO – THE DARK – 1980 – CHRISTMAS EVIL – FONDU AU NOIR (Fade to black) – LE DROIT DE TUER (The Exterminator) – MOTHER’S DAY – PULSIONS (Dressed to Kill) – SURVIVANCE (Just before dawn) – THE SHINING – 1981 – HAPPY BIRTHDAY TO ME – HOME SWEET HOME – HORRIBLE (Rosso Sangue) aka ABSURD – MASSACRES DANS LE TRAIN FANTÔME (The Funhouse) – NEW YEAR’S EVIL – ROADGAMES – THE DEMON – 1982 – À LA LIMITE DU CAUCHEMAR (Night Warning) aka BUTCHER, BAKER, NIGHTMARE MAKER – DÉMENT (Alone in the dark) – L’ÉVENTREUR DE NEW-YORK (Lo Squartatore di New York) – LES FANTÔMES DU CHAPELIER – LES FRÉNÉTIQUES (The Last Horror Film) aka FANATIC – NÉVROSE (Revenge in the House of Usher) – TÉNÈBRES (Tenebrae) – TRAPPED – UNHINGED – 1983 – DEAD ZONE – EN PLEIN CAUCHEMAR (Nightmares) – LA MAISON DE LA TERREUR (La Casa con la scala nel buio) aka A BLADE IN THE DARK – LE SADIQUE À LA TRONÇONNEUSE (Mil gritos tiene la noche) aka PIECES – MASSACRE AU CAMP D’ÉTÉ (Sleepaway Camp) – 1984 – ANGEL – DREAMSCAPE – LES DÉMONS DU MAÏS (Children of the Corn) – LES GRIFFES DE LA NUIT (A Nightmare on Elm Street) – LES MASQUES DE LA MORT (The Masks of Death) – MURDER ROCK – NEW YORK 2H DU MATIN (Fear City) – THE DARKSIDE OF MIDNIGHT aka THE CREEPER – ZOMBIE ISLAND (Zombie Island Massacre) – 1985 – MATADOR – THE MUTILATOR – 1986 – AEROBIC KILLER – HENRY, PORTRAIT D’UN SERIAL-KILLER (Henry: Portrait of a Serial Killer) – 1987 – LA CAMPING DE LA MORT (Camping Del Terrore) aka BODY COUNT – THE STEPFATHER – 1988 – AMERICAN GOTHIC – AMSTERDAMNED – 1989 – MONSIEUR HIRE.
- Trapard - (CosmoFiction)
CASIERS JUDICIAIRES EN VRAC DE SERIAL-KILLERS DES 80′s – partie 1
Vous sentez déjà venir les affres de l’âge et vous avez peur de vieillir ? Vous avez un gros bouton sur le bout du nez qui vous fait loucher et souffrir en public ? Vous avez donc décidé d’en finir ? Alors c’est le moment idéal pour vous choisir une FIN digne de ce nom. Lente et douloureuse ou efficace et nerveuse, CosmoFiction vous propose des casiers judiciaires de serial-killers de films de la fin des seventies et des eighties pour que vous puissiez cocher le profil qui vous conviendra le mieux pour cet instant de recueillement fatal en la compagnie de l’un de ces gentilshommes.
Vous trouverez avant tout dans cette liste les Tueurs de Slashers dont l’identité est connue tout le long des films, à la différence des criminels de Giallo dont l’identité n’est dévoilée qu’à la fin des enquêtes. S’il s’agit d’un Tueur de Slasher à l’identité révélée qu’en fin de film, nous indiquerons uniquement son Surnom de criminel.
CASIERS JUDICIAIRES EN VRAC DE SERIAL-KILLERS DES 80′S – Partie 1
Nom : VOORHEES
Prénom : Jason
Famille : Fils d’Elias et de Pamela Voorhees
Signes particuliers : Il était déjà décédé avant le premier film de la saga, alors qu’il était enfant. Il trucide ses victimes en portant un masque de hockey depuis l’épisode 3, MEURTRES EN 3-D (1982). Charcuté et porté décédé à la fin de chaque épisode, il ressuscite et récidive dans chaque nouvel épisode.
Armes des crimes : Tout ce qui passe à sa portée : couteaux, sabres, haches, débroussailleuses, paires de ciseaux, fusils de plongée, barres-à-mine…
Victimes préférées : Toutes ! Sans aucune distinction ni discrimination.
Films : La saga des VENDREDI 13. Jason Voorhees n’apparait qu’à partir du second volet : LE TUEUR DU VENDREDI (1981).
Nom : WARDEN
Prénom : Harry
Famille : Inconnue
Signes particuliers : Harry Warden est un ancien mineur de fond d’une mine de charbon du sud des États-Unis. Un jour de Saint Valentin, Warden et quatre autres mineurs se sont retrouvés emprisonnés sous un éboulement dû à la négligence de deux superviseurs qui voulaient se rendre à un dancing pour la fête des amoureux, et qui ont quitté leur poste en oubliant de vérifier les niveaux de limite du gaz méthane, alors que les cinq ouvriers étaient au fond de la mine. Seul Harry Warden a survécu à l’éboulement suite à une explosion du méthane, mais devenu fou, il eut recours au cannibalisme pour survivre en mangeant les corps de ses collègues. Un an plus tard, Warden tua les deux superviseurs à coups de pioche et leur extirpa le cœur pour en faire un mausolée en l’honneur du fameux jour de la Saint Valentin où il a été laissé pour mort. Enfermé vingt ans en hôpital psychiatrique, Harry Warden est de retour dans son village, alors que parallèlement des meurtres similaires au sien sont justement de nouveau commis.
Armes des crimes : un grande pioche à deux pointes ou autres accessoires de miniers. Harry Warden exécute tous ses crimes en portant son uniforme et son ancien masque d’ouvrier.
Victimes préférées : Les habitants du village minier
Film : MEURTRES À LA SAINT-VALENTIN (1981) ou MY BLOODY VALENTINE de George Mihalka
BANDE-ANNONCE DE MY BLOODY VALENTINE
Nom : ZITO
Prénom : Frank
Famille : Inconnue, exceptée sa mère qui, d’après lui, se prostituait.
Signes particuliers : Troubles psychotiques et paranoïaques. Frustré sexuellement, il comble un certain vide en tuant les femmes et en rapportant leur scalp comme trophée.
Arme des crimes : Un cutter
Victimes préférées : Les prostituées, mais aussi parfois les couples. Mais les femmes en général lui rappellent l’image qu’il s’est créé de sa propre mère.
Film : MANIAC (1980) de William Lustig
BANDE-ANNONCE DE MANIAC
Nom : MILLER
Prénom : Reno
Famille : Inconnue. Il vit avec sa fiancée Carol qui entretient aussi une relation libre avec la jeune punkette, Pamela.
Signes particuliers : Au fur et à mesure que le film évolue, il devient de plus en plus malade des nerfs jusqu’au point culminant où il se rend dans les rues new-yorkaises dans le but de percer des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous, mais dans le crâne des ivrognes et autres clodos…
Arme des crimes : Une perceuse électrique portable achetée dans une quincaillerie.
Victimes préférées : Particulièrement celles qui sont déjà bien éméchées par l’alcool ou qui dorment sur un trottoir. Si vous sortez de boîte samedi prochain, appelez-le.
Film : DRILLER KILLER (1979) d’Abel Ferrara
DRILLER KILLER EN ENTIER EN V.O.
Nom : KELLER
Prénom : Junior
Famille : Ses parents, Ernest et Virginie Keller, sont frère et sœur, et Junior est le fruit de leur relation incestueuse.
Signes particuliers : C’est un attardé mental qui est infantilisé par son père qui le bat régulièrement et le séquestre dans le sous-sol de l’auberge Keller. Vous pouvez plus ou moins lui trouver un alter-égo en plus bestial dans le cas pathologique du tueur de PHENOMENA (1985) de Dario Argento.
Arme des crimes : La strangulation à mains nues
Victimes préférées : Les jeunes femmes logeant à l’auberge Keller
Film : LES SECRETS DE L’INVISIBLE (1980) aka THE UNSEEN de Danny Steinmann
Nom : MYERS
Prénom : Michael ou Mike (aussi appelé « La Chose »)
Famille : Parents décédés. Il a poignardé sa grande sœur Judith âgée de 17 ans, alors qu’il était âgé de 6 ans. Laurie Strode , sa grande sœur élevée par une famille d’accueil, est toujours vivante.
Signes particuliers : Son unique motivation : tuer. Il porte un masque blanc pour cacher son visage. Ne meurt jamais.
Arme des crimes : Un grand couteau de cuisine
Victimes préférées : Sa sœur Laurie. Les adolescents.
Films : La saga des HALLOWEEN. Michael Myers n’apparait pas dans HALLOWEEN 3 (1983).
Nom : CROPSY
Famille : Inconnue
Signes particuliers : Gardien du camp d’été Blackfoot qui a été brûlé vif lors d’une plaisanterie d’adolescents qui a mal tourné. Depuis, il est bien décidé à les zigouiller tous.
Arme des crimes : Une grande paire de cisailles
Victimes préférées : Jason a une préférence pour Crystal Lake, Cropsy, lui, préfère charcuter tout être humain (de préférence à peine pubère) qui part en colonie de vacances au Stone Water.
Film : CARNAGE (1981) ou THE BURNING de Tony Maylam
Nom : WYLER
Prénom : Frank (ou Francesco)
Famille : Jeune aristocrate orphelin, il vit avec le corps d’Anna, sa fiancée défunte et avec sa gouvernante, Iris. Il a aussi un cousin du nom de Benjamin.
Signes particuliers : Frank Wyler est taxidermiste et nécrophile (et nécrophage à ses heures). Sa gouvernante avec laquelle Frank entretient des rapports charnels assez particuliers est aussi la meurtrière d’Anna dont Frank aime profondément l’image et physiquement le corps embaumé depuis son décès. Coincé entre des fantasmes sexuels morbides et son idolâtrie pour Anna, Frank est aidé par Iris pour capturer puis pour assassiner des jeunes femmes lui rappelant son amour perdu.
Armes des crimes : Il peut utiliser des outils de quincaillerie pour torturer ses victimes avant de les tuer, et il en égorge même une avec les dents. Puis il les dissout dans de l’acide citrique après les avoir découpées en morceaux ou il brûle leur corps dans la grande cheminée de la cave de la maison.
Victimes préférées : Plutôt jeunes et jolies. Boudins s’abstenir…
Film : BLUE HOLOCAUST (1979) de Joe d’Amato
BANDE-ANNONCE DE BLUE HOLOCAUST aka BEYOND THE DARKNESS EN ANGLAIS
Nom : TATUM
Prénom : George
Famille : Inconnue. On sait qu’enfant, il a tué à coups de hache une prostituée qui exécutait une prestation à son père dans la chambre parentale.
Signes particuliers : George Tatum est un criminel paranoïaque et psychotique. Il s’est immiscé dans plusieurs familles dont il a torturé et assassiné les membres. Il a été interné dans un hôpital psychiatrique pour grands criminels, et d’abord sous liberté surveillée, il fuit vers la Floride de son enfance, où il commet une nouvelle série de meurtres en s’immisçant dans la vie privée d’une mère de famille et ses trois enfants.
Arme des crimes : le couteau, la hache, ainsi qu’une carotteuse (outil servant habituellement à percer des trous dans la roche ou le béton).
Victimes préférées : Les familles américaines de classe moyenne.
Film : CAUCHEMARS À DAYTONA BEACH (1981) ou NIGHTMARE ou BLOOD SPLASH de Romano Scavolini
CAUCHEMARS À DAYTONA BEACH EN ENTIER EN V.O.
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