Archive pour novembre, 2019

LE MONSTRE DE LA SEMAINE : LA VILAINE GRENOUILLE SURGISSANT DE LA BRUME

Un monstre des Eighties, invité vedette de la semaine sur CosmoFiction ! Un monstre parmi le florilège infernal des créatures issues des films ou des séries télévisées fantastiques et de science-fiction des années 80 !

LE MONSTRE DE LA SEMAINE : LA VILAINE GRENOUILLE SURGISSANT DE LA BRUME dans CINÉMA iyz8Ib-rana4

J’ai eu un peu de mal à dénicher une capture d’écran potable de cette créature amphibie toujours filmée dans l’obscurité ou recouverte d’une brume épaisse. Elle est un énième dérivé de L’ÉTRANGE CRÉATURE DU LAC NOIR (1954) après SLITHIS (1978), LES MONSTRES DE LA MER (1980), MONSTROÏD : IT CAME FROM THE LAKE (1980) et tant d’autres… Son petit nom est Rana ou Croaked Dzz8Ib-rana3 dans FANTASTIQUEselon les distributeurs, puisque le film est sorti en salles en 1981 sous le titre RANA : THE LEGEND OF SHADOW LAKE, puis distribué en VHS en 1991 par Troma sous celui de CROAKED, THE FROG MONSTER FROM HELL. Puis il est sorti en DVD en 2004, ce qui a peut-être inspiré la création de FROG-G-G ! (2004) de Cody Jarrett la même année. Car il s’agit bien d’une mutation entre un homme et une grenouille, bien que Rana soit beaucoup plus sommaire d’apparence : verte et visqueuse. Son créateur est le maquilleur de second plan, Tom Schwartz, qui a travaillé sur la fabrication de prothèses en latex pour la création des créatures de LA GALAXIE DE LA TERREUR (1981), ainsi que sur les maquillages de SCANNERS (1981).

L’intrigue : Âgée de 11 ans, Kelly Morgan avait fait une rencontre terrifiante avec Rana, un étrange monstre mi-homme mi-grenouille vivant dans un lac. La créature a tué son père et de nombreuses autres personnes jusqu’à ce que Kelly la terrasse. Jeune femme, Kelly retourne à la recherche du trésor caché du monstre et cherche à savoir si la créature légendaire a vraiment été tuée…

RANA : THE LEGEND OF SHADOW LAKE n’est pas un très bon film. Il a été réalisé par Bill Rebanne qui avait déjà commis L’INVASION DES ARAIGNÉES GÉANTES (1975).

Le scénario de RANA pourrait presque rappeler le très bon film australien post-GOONIES de Brian Trenchard-Smith sorti 5 ans plus tard : LE SECRET DU LAC (1986, Frog Dreaming) dont la créature est plus suggérée que montrée.

L’intrigue de FROG DREAMING : Cody est un petit gamin casse-cou, aventurier, curieux et diablement ingénieux. Un jour, il découvre un lac dont personne ou presque ne connaît l’existence. Or, ce lac serait en fait le repère d’un monstre mystérieux bien connu des aborigènes et des sorciers. Comme il n’en fait qu’à sa tête, et malgré le fait que tout le monde lui dise de ne pas y retourner, il se bricole une tenue de plongée et part à la recherche du monstre…

- Trapard - (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)

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Autres Monstres de la Semaine :

Beholder chinois / Créature de Fyrine IV / Sinok / Asticot-géant-violeur de Morganthus / Martien glouton / Ver des sables d’Arrakis / Vermithrax Pejorative / Gremlins / Molasar / Darkness / La Chose / La Mouche / Audrey II / Pinhead / Visiteurs / Cœlacanthe mutant / Dévoreur de Pluton / Yautja galactique  / Hobgoblin ratatiné / Katahdin, le grizzli mutant / Extraterrestre incubateur cannibale / Guzoo, le parasite sanglant de la nuit des temps / L’alien envahisseur aux mille cocons / La nouvelle femme guêpe / L’homme-homard venu de Mars / Rawhead Rex ou le monstre à la gueule figée / Mangeur de pierre d’une histoire sans fin / La créature qui voulait se faire aussi belle que l’Alien / Les Critters / La créature du marais / Les deux rejetons jumeaux mutants et cannibales / Le rejeton hybride, tentaculaire et incestueux / Une grande gueule dans la nuit / Gakidama, le parasite carnivore

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UN LIVRE DONT VOUS ÊTES LE HÉROS : LA GALAXIE TRAGIQUE (1983)

UN LIVRE DONT VOUS ÊTES LE HÉROS : LA GALAXIE TRAGIQUE (1983) dans Un Livre dont vous êtes le Héros htR5Ib-livre9

« Happé par l’effroyable vide de Selestian, le vaisseau cosmique voyageur émerge de l’autre côté du trou noir pour pénétrer dans un univers inconnu. Or, le commandant du vaisseau voyageur, c’est VOUS, et sa destinée repose entre vos mains. Serez-vous capable de retrouver le chemin de la Terre en visitant les planètes que vous rencontrerez pour demander de l’aide aux extra-terrestres qui le peuplent ? Ou serez-vous condamnés, vous et votre équipage, à errer à jamais dans un espace inexploré ?
Deux dés, un crayon et une gomme sont les seuls accessoires dont vous aurez besoin pour vivre cette aventure. Et ce sera à Vous de décider sur quelles planètes il convient d’atterir, des planètes où vous serez confronté à des dangers de toutes sortes et où vous devrez parfois combattre de terrifiante créatures. »

(CosmoFiction – morbius501@gmail.com)

LA BANDE-ANNONCE : DEATHROW GAMESHOW (1987)

La bande-annonce, pour se rappeler de bons ou de mauvais souvenirs, ou pour titiller votre curiosité !

LA BANDE-ANNONCE : DEATHROW GAMESHOW (1987) dans CINÉMA 07L4Ib-deathVoici une bande-annonce en VO qui sent bon l’humour bête et sexy des comédies américaines des années 80. Nous ne vous proposons pas de version française car DEATHROW GAMESHOW semble n’avoir jamais été distribué en France. Mais alors pourquoi parler d’une comédie sur CosmoFiction ? Tout simplement parce que, à mon humble avis, ce film peut être considéré comme un pur dérivé de RUNNING MAN (1987) de Paul Michael Glaser sorti la même année. Ou de la télé réalité imaginée par Robert Sheckley. Mais comme Yves Boisset avec LE PRIX DU DANGER (1983), Mark Pirro situe l’action de DEATHROW GAMESHOW dans un futur très proche ou dans un présent dans lequel la législation est mal définie.

L’histoire : Des gangsters tentent de s’attaquer à l’animateur du jeu télévisé « Live or Die » mettant en vedettes des condamnés à mort qui s’affrontent pour survivre ou mourir en direct tout en gagnant des prix pour leurs proches parents…

L’alibi de DEATHROW GAMESHOW est avant tout pour Mark Pirro de développer un humour corrosif proche de celui de Paul Bartel (LA COURSE À LA MORT DE L’AN 2000, EATING RAOUL). D’ailleurs, l’humour décalé des titres des premiers films de Pirro ressemble beaucoup aussi à celui des films du catalogue de Troma (A POLISH VAMPIRE IN BURBANK, CURSE OF THE QUEERWOLF, NUDIST COLONY OF THE DEAD, BUFORD’S BEACH BUNNIES), bien qu’il les ait produit lui-même avec sa petite firme Pirromount Pictures.

Dans DEATHROW GAMESHOW, on assiste par exemple à un condamné à mort électrocuté sur la chaise électrique juste après un langoureux et interminable strip-tease. Le plus intéressant au final avec le recul, ce sont les épreuves des participants jouant leurs vies dans un espace plutôt clos, un argument qui anticipe d’une quinzaine d’années ce qui fera le succès de la saga SAW.

Pour redécouvrir les films de Mark Pirro, il semble n’exister aucune homogénéité dans l’édition de ses films en DVD. J’ai pu découvrir DEATHROW GAMESHOW complètement par hasard au sein du coffret « Rare Cult Movies » vendu par l’éditeur Mill Creek Entertainment qui regroupe beaucoup de raretés de la Crown International Pictures. Par contre, en France, les films de Mark Pirro sont introuvables.

- Trapard - (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)

Cliquez sur l’image ci-dessous pour voir la bande-annonce du film.

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Autres bandes-annonces de la catégorie :

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14051412572015263612236353 dans LA BANDE-ANNONCE

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LE CINOCHE DE TRAPARD : LA PRINCESSE DE LA LUNE (1987)

Un peu de poésie et de féerie après Halloween, Trapard nous en offre à travers cette belle histoire japonaise…

LE CINOCHE DE TRAPARD : LA PRINCESSE DE LA LUNE (1987) dans CINÉMA 4f00Ib-princesseLA PRINCESSE DE LA LUNE (1987, 竹取物語, Taketori monogatari) est l’un des derniers films de Kon Ichikawa qui est surtout connu en France pour deux belles fresques désabusées sur la guerre du Pacifique (LA HARPE DE BIRMANIE et FEUX SUR LA PLAINE). En plein période de succès du film de science-fiction, il décide d’adapter « Le Conte du coupeur de bambou » considéré comme le texte narratif le plus ancien du Japon qui raconte la vie d’une fillette mystérieuse appelée Kaguya-hime qui est découverte, bébé, dans la coupe d’une canne de bambou luisante, et venant de Tsuki no Miyako (月の都, « la capitale de la Lune »).

Malgré la présence de Toshirô Mifune dans le rôle du père, LA PRINCESSE DE LA LUNE ne semble pas avoir bénéficié d’une quelconque édition en France ni en VHS à l’époque, ni en plus récemment DVD. Peut-être que l’association de thèmes médiévaux et de science-fiction semblaient invendables aux éditeurs français à une époque où le monde occidental digérait à peine les grandes fresques médiévales d’Akira Kurosawa (KAGEMUSHA et RAN). Pourtant le film d’Ichikawa ciblait une exploitation occidentale. Car bien que naïf, LA PRINCESSE DE LA LUNE est un film beau et étrange qui se conclue sur l’arrivée d’un immense vaisseau spatial qui ressemble à celui de RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE et par un retour plein d’émotions de Kaguya vers la Lune avec des effets spéciaux rappelant ceux de E.T., L’EXTRATERRESTRE (1982).

Récemment, Isao Takahata a préféré gommer les ingrédients science-fictionnels des années 80 pour revenir à la source du conte pour le studio Ghibli avec son film d’animation, LE CONTE DE LA PRINCESSE KAGUYA (2013, かぐや姫の物語, Kaguya-hime no monogatari). La fin du film de Takahata rappelle d’ailleurs beaucoup plus l’univers féérique de « L’Histoire comique des États et Empires de la Lune » (1657) de Cyrano de Bergerac que l’univers de Steven Spielberg.

ci00Ib-princesse4 dans LE CINOCHE DE TRAPARD

L’intrigue : Un coupeur de bambou découvre un jour une minuscule princesse à l’intérieur d’une tige de bambou. Il la ramène chez lui en pensant qu’il s’agit d’un don du ciel et la présente à sa femme. Le petit être se transforme alors en bébé que le couple de paysans élève dans la montagne. Les enfants de la région la surnomment « Pousse de bambou » car tout comme les bambous elle grandit à vue d’œil. vj00Ib-princesse3 dans SCIENCE-FICTIONMais le paysan trouve une montagne de pièces d’or en coupant un bambou et se persuade qu’il a le devoir de faire de sa fille une princesse. Il arrache donc la jeune enfant à sa montagne et à ses amis pour lui imposer une éducation de noble dans la capitale. Mélancolique, la jeune fille rêve de ses amis perdus et ne s’intéresse pas à l’aristocratie. Au cours de la cérémonie de passage à l’âge adulte on la nomme « Princesse Kaguya des bambous graciles » en raison de sa souplesse et de sa beauté « lumineuse ». Sa beauté devient incroyablement réputée bien que personne n’ait jamais vu son visage. Les cinq grands princes de la capitale demandent sa main. Elle refuse leurs offres ainsi que celle de l’empereur. Par la suite, elle comprend qu’elle vient de la Lune et qu’elle a été envoyée sur la Terre pour la punir d’avoir désiré découvrir cette planète interdite. Les Sélénites considèrent que les Terriens sont souillés par des émotions telles la tristesse, la joie, la peur…

- Trapard - (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)

Autres films de la catégorie Le Cinoche de Trapard :

Prisoners of the Lost Universe / Carnage / Matador / Prophecy, le Monstre / Alligator / Killer Klowns from Outer Space / Gunan le Guerrier / Les Yeux de Laura Mars / Nuits de Cauchemar / The Dark / Delirium / Le Cimetière de la Terreur / Zombie Nightmare / Neon Maniacs / Les Forces du Mal / Le Démon des Profondeurs / Adam et Ève contre les Cannibales / Slipstream, le Souffle du Futur / El Aullido del Diablo / La Guerre des Vampires / Desert Alien / La Chasse aux Morts-Vivants / The Pink Chiquitas / Phoenix, the Warrior / Beyond the Universe / Weasels rip my flesh

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