SPECIAL GUEST : SNAKE PLISSKEN

SPECIAL GUEST : SNAKE PLISSKEN dans CINÉMA 18060301270115263615742774

Bandeau sur l’œil gauche, cheveux mi-longs, tatouage de cobra sur l’abdomen et gueule de dur à cuire, Snake Plissken n’en à rien à cirer de l’autorité ou d’un président américain. Tout ce qu’il veut, c’est qu’on lui foute la paix et qu’on le laisse enfin vivre sa vie.

18060301285415263615742777 dans New York 1997Tandis que dès 1988 l’île de Manhattan devient une prison géante abritant les plus dangereux criminels d’une société où le taux de criminalité atteint 400%, Plissken est lieutenant de l’US Army. Décoré à maintes reprises pour ses exploits durant la Troisième Guerre mondiale contre l’URSS, notre homme finit par choisir une autre voie : la vie criminelle… Why ?… Eh bien sans doute à cause d’un sentiment de trahison. Le gouvernement américain l’aurait laissé tomber au cours d’une bataille qui lui a coûté son œil gauche… Snake a la rancune tenace…

Alors Plissken décide de s’associer en 1993 avec deux potes pour vider les Réserves fédérales de Kansa City. Ma foi, un bon moyen de se payer des vacances méritées sur des terres irradiées. Mais tout ne marche pas comme prévu : un pote est arrêté et Plissken parvient tout juste à s’échapper. Il est arrêté à son tour et condamné à perpétuité en 1997 (à l’époque ça rigolait pas contrairement aux fichés S qu’on laisse en liberté en 2018, ouaip…). Mais il sera finalement choisi pour aller récupérer le président des States dont l’avion vient de s’écraser en plein cœur de la prison Manhattan. Attention : il a seulement 24 heures pour y parvenir. Sinon sa tête fait « BOUM ! » car, mieux qu’un bracelet électronique, on a greffé une petite merveille de technologie dans son cou… Notre homme réussira sa mission tout en s’offrant le luxe de se foutre de la gueule du président en lui réservant une jolie surprise finale.

Snake Plissken connaîtra par la suite d’autres aventures qui ne nous intéressent plus car elles sont plus proches du délire que de ce que nous avions connu, et apprécié, à travers NEW YORK 1997 de John Carpenter, en 1980. Et pourtant, c’est le même homme qui en est à l’origine. Honte à lui. 

Snake Plissken, c’est l’inoubliable Kurt Russell qui campe l’un des anti-héros les plus célèbres des films des 80′s. Merci à lui.

- Morbius – (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)

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Autres vedettes de Special Guest :

Ursa / Mike Donovan / Max Rockatansky / Bub / Peter Vincent / Alex Rogan / Rick Deckard / Isabeau d’Anjou / Lord Casque Noir / Le Terminator / Robocop

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Un commentaire

  1. trapard dit :

    Et Vive Snake Plissken !!! Appelez-le Snake ou appelez-le Plissken ? Peu importe, pour moi, il s’agit de l’anarchiste pur et dur, celui qu’on n’attrape pas (ou plus, dans son cas à lui). Et qui né en pleine période punk politisée (tout le début des années 80). Les années 70 engendraient des histoires compliquées, des complots gouvernementaux, des pièges politiciens, suite à de nombreuses déceptions (Watergate, le Vietnam, etc). L’apothéose est « Osterman week-end » de Sam Peckinpah en 1983.
    Et les années 80 ont apporté leur lot de héros émancipés. John Rambo dès 1982 aura la même histoire rancunière que Plissken. À l’inverse, tout solitaire qu’il est, Max Rockatansky reste un ex-flic solitaire mais droit dans ses bottes.
    La force de Plissken, bien qu’il reste toujours insaisissable et revêche à toute amitié ou complicité (il connait la chanson), c’est son humour ironique et sa ténacité à toutes épreuves. Et son espérance. Il est tout l’inverse de Rambo qui a tendance à se plaindre régulièrement de son sort (« c’est pas ma guerre ! ») et à se contenter d’être une victime qui se débat, d’abord seul, puis de nouveau pour l’armée us.
    Franchement, Snake Plissken c’est mon héros préféré des années 80. La suite de 1996 est moins bonne, mais pour moi Plissken reste le même.

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