DISPO YOUTUBE : L’INVASION VIENT DE MARS (1986)
Un film fantastique ou de SF disponible en version française et en entier sur YouTube ? De surcroît un film rare ou difficile à dénicher ? L’alerte est donnée : CosmoFiction se fait un devoir de vous le signaler. Cet article s’autodétruira quand le film aura disparu de YouTube sachant que ses jours sont comptés…
Et c’est là qu’on va me dire tout de suite : « Ah mais tu sais, y a plein de films fantastiques et de SF en VF sur YouTube, notamment des années 80 ! ». Oui, oui, je sais les amis. Sinon je ne serai pas en train de vous en parler, hein. Et puis la playlist YouTube de CosmoFiction en compte déjà un joli paquet, hein, grâce aux cinéphiles avertis de tous poils et de toutes espèces. Mais on a parlé ici de « films rares ou difficiles à dénicher », et L’INVASION VIENT DE MARS (Invaders from Mars) en fait partie. Donc ce sera lui et pas les autres, na ! Ou peut-être les autres une prochaine fois mais pas aujourd’hui, re-na !
Réalisé par Tobe Hooper à l’heure où, délaissant ses tronçonneuses et poltergeists, notre homme s’initiait tant bien que mal à la SF avec également LIFEFORCE, L’INVASION VIENT DE MARS n’est autre que le remake du célèbre classique des fifties, LES ENVAHISSEURS DE LA PLANÈTE ROUGE (Invaders from Mars, 1953, William Cameron Menzies), remake orchestré par la non moins célèbre Cannon qui fit quelques-uns des beaux jours des Eighties. L’histoire est connue :
« Un jeune garçon passionné d’astronomie essaie d’arrêter l’invasion de sa ville par des aliens qui s’emparent de l’esprit de ses habitants en contrôlant l’esprit humain au moyen d’un implant situé dans le cou de leurs victimes. Avec l’infirmière de son école, le garçon va tenter d’alerter et obtenir l’aide de l’armée américaine. » (Wikipédia)
Accueil mitigé, à l’époque, pour ce remake aux aliens balourds et (volontairement ?…) amusants, John Dykstra et Stan Winston ayant même obtenu leur nomination aux Razzie Awards 1986 pour les Pires effets spéciaux (oh, la honte !), avec Louise Fletcher dans le rôle de la méchante institutrice (elle-même nominée au Pire second rôle féminin… c’est cruel quand même). Et pourtant, même si L’INVASION VIENT DE MARS n’a pas le charme de l’original de 1953, le temps lui confère aujourd’hui un certain… comment dire… un certain quelque chose de bizarre, un truc-machin-bidule qui fait que c’est bien un film des 80′s : il ose ! Quitte à se prendre les pieds dans le tapis ! Mais c’est aussi une preuve certaine que la Cannon avait vraiment du fric à foutre en l’air à l’époque…
- Morbius – (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)
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SPECIAL GUEST : ROBOCOP
Dans l’avenir, la morale n’a pas sa place (déjà qu’aujourd’hui, euh…) et recycler un flic après son décès sera chose courante grâce à la technologie et la science…
Robocop, du film ROBOCOP de Paul Verhoeven (1987), était à l’origine un être humain. Abattu froidement au cours d’une intervention, le policier Alex Murphy (Peter Weller) sera utilisé comme cobaye par Bob Morton, un homme sans scrupule à l’origine du projet Robocop et désireux de s’imposer coûte que coûte dans sa hiérarchie. C’est ainsi qu’Alex deviendra le premier robot-flic (un robocop). Après qu’on lui ait effacé la mémoire de son ancienne vie, ce qui reste de son corps sera transféré dans une armure métallique informatisée, sorte d’exosquelette d’une résistance absolue grâce à un alliage spécial.
Doté d’un système de visé d’une efficacité redoutable, Robocop possède un pistolet automatique intégré dans sa jambe droite. Il dispose également d’un scanner-thermographe qui lui permet de voir à travers les murs.
Robocop peut se connecter aux ordinateurs et enregistrer en continue ses interventions. Il sera par la suite équipé d’un réacteur dorsal et pourra remplacer son bras gauche par un combiné mitrailleuse, lance-flamme et lance-roquette. Robocop est programmé pour appliquer quatre directives : être au service des citoyens, protéger les innocents, faire respecter la loi et ne pas s’attaquer à un membre de l’OCP (le conglomérat à l’origine de sa conception). Néanmoins certaines de ces directives ne seront pas respectées car peu à peu l’homme dans la machine retrouvera les souvenirs de son ancienne vie.
Robocop a été conçu par Rob Bottin. Il est apparu dans trois films, ROBOCOP (Paul Verhoeven / 1987), ROBOCOP 2 (Irvin Kershner / 1990), ROBOCOP 3 (Fred Dekker / 1992), dans une série télévisée en 1994, dans des séries animées en 1988 et 1998 et dans quelques téléfilms. Une nouvelle version de l’homme cyborg a été créée pour le remake de José Pardilha en 2014.
- Morbius – (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)
Autres vedettes de Special Guest :
Ursa / Mike Donovan / Max Rockatansky / Bub / Peter Vincent / Alex Rogan / Rick Deckard / Isabeau d’Anjou / Lord Casque Noir / Le Terminator
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RATMAN (1988)
Sperme de rat + ovule de guenon = Ratman ! Allons, allons, ne prenez pas cet air dégoûté, voyons. La recette est simple et efficace, certes, quelque peu risquée tout de même… C’est le cas du film de Giuliano Carnimeo que Tom vous présente aujourd’hui dans son premier article pour CosmoFiction. On le remercie !
RATMAN
de Giuliano Carnimeo – Italie – 1988
Avec : David Warbeck, Janet Agren, Eva Grimaldi, Nelson de la Rosa, Luisa Menon…
Sur une île paradisiaque, Fred Williams, un écrivain spécialisé dans le polar, va faire la rencontre de Terry, la fille d’un sénateur américain. Si l’homme a la plume qui saigne y est venu dans l’optique de trouver l’inspiration afin de rédiger son nouveau roman, la progéniture du politicien doit elle identifier ce que la police locale soupçonne être le cadavre de Maryline, sa sœur bien-aimée. Une fois en visite à la morgue, Terry va découvrir que la dépouille présentée par l’inspecteur en charge de cette affaire n’est autre que celui de Peggy, une amie proche de sa sœurette. Mais le plus étrange, c’est qu’il semblerait que cette dernière fut lacérée par ce qui s’apparente à des blessures causées par un ou plusieurs rats…
Le film de monstres est une valeur sûre au cinéma, et ce n’est pas nos amis italiens qui vont omettre ce détail, surtout en cette fin des années 80 où la lire se fait de plus en plus rare pour produire ce genre de bobine. Mis en scène par Giuliano Carnimeo, artisan providentiel qui aura traîné sa carcasse dans pas mal de série B dont quelques westerns plutôt recommandables (RINGO CHERCHE UNE PLACE POUR MOURIR, LE FOSSOYEUR), RATMAN est le stéréotype même de la petite bande ne bénéficiant guère d’importants moyens, mais dont le niveau va être considérablement élevé grâce notamment à un scénario audacieux et à une mise en scène qui, si elle n’est pas révolutionnaire, va se montrer diablement efficace.
Le ratman est le fruit d’une expérience génétique menée par un savant raté, ayant eu la bonne idée de le créer à partir de sperme de rat et d’ovule de guenon. J’imagine que bien des chercheurs doivent envisager ce type de projet dans le but de vouloir faire avancer la science… Seulement voilà, sa création, extrêmement agressive au demeurant, va échapper à son contrôle et partir dans une macabre épopée sanguinaire en tuant tous les protagonistes qui auront le malheur de croiser sa route. Et pour ça, notre hamster enragé est plutôt bien armé. Doté d’une intelligence particulièrement développée, d’un poison mortel qu’il inocule via ses griffes tranchantes comme des rasoirs, la petite monstruosité va se transformer en une véritable machine à tuer. Sous les traits de Nelson de la Rosa, que l’on a pu voir jouer du piano au côté de Marlon Brando dans L’ÎLE DU DOCTEUR MOREAU version Frankenheimer, l’abominable rongeur est clairement l’attraction principale de cette œuvre. Bien aidée par une trame lui faisant la part belle aux niveaux des apparitions, cette aberration scientifique ne va pas se faire prier lorsqu’elle va avoir la possibilité de dessouder les personnages qu’elle va être amenée à rencontrer. Et comme dans toute bonne prod’ italienne de cette époque, le budget hémoglobine va être plutôt généreux. En résulte donc un nombre important de passages gores carrément bienvenus, palliant de surcroît la linéarité d’une intrigue qui, si elle n’est pas déplaisante, aurait gagné à être davantage approfondie.
Difficile en effet d’avoir une quelconque empathie envers le pauvre Nelson, tant Carnimeo se contente de l’utiliser tel un outil de destruction au lieu de se pencher un peu plus sur sa genèse. Ça charcle, ça déchiquette, mais au final, on ne sait pas grand-chose sur l’horrible petite bestiole. Dommage. Bon, au moins, cette prise de position a le mérite d’aller droit au but, et ce n’est déjà pas si mal…
Pouvant se targuer d’un casting qui, sur le papier, a franchement de la gueule, devant la caméra du réal’ des EXTERMINATEURS DE L’AN 3000 c’est une tout autre histoire. L’excellent David Warbeck (HÉROS D’APOCALYPSE, L’AU-DELÀ), est à mille lieues des prestations qu’il a coutume de proposer. Ne semblant guère concerné par les attaques répétées du gerbille sur pattes, il semblerait que l’inoubliable interprète des AVENTURIERS DU COBRA D’OR soit venu cabotiner sur le plateau du Giuliano juste pour encaisser un chèque, que j’imagine assez modeste, dans l’intention de payer quelques factures et de remplir son frigo. En contrepartie, Carnimeo a eu l’idée lumineuse de s’offrir les services de l’une des plus belles choses à qui Dame Nature ait donné naissance de l’autre côté des Alpes : la sculpturale Eva Grimaldi. Exploitant pleinement le potentiel physique de la bombe du COUVENT DES PÉCHERESSES, Giuliano Carnimeo va nous gratifier d’une séquence de douche torride nous dévoilant Sœur désir intégralement nue, et poussant des gémissements contemplatifs à chaque passage langoureux de ses mains sur son corps divin. Rempli de connotations érotiques, l’ensemble se déroule, bien entendu, sous le regard avisé du ratman, qui pour le coup n’a même pas sa nouille de rongeur qui frétille. Étrange animal…
Même si parfois maladroite, QUELLA VILLA IN FONDO AL PARCO, son titre quelque peu racoleur en version originale, est un honnête bis doté de quelques fulgurances assez inattendues et, même si elle aurait pu bénéficier d’un traitement un peu plus qualitatif, peut se vanter d’avoir, en la présence du ratman, proposée un boogeyman vraiment intéressant. Un bel exemple de ce que nos amis italiens savaient encore faire en cette fin des années 80. Comme quoi, malgré le fait que nombre de détracteurs se plaisent encore à qualifier cette période de néant cinématographique concernant la série B italienne, une péloche comme RATMAN permet de reconsidérer leurs propos… Et puis bon, rien que pour assister à la douche d’Eva, ce film vaut bien tous les visionnages du monde…
- Tom – (CosmoFiction)
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L’AFFICHE : L’HISTOIRE SANS FIN (1984)
Pour le plaisir des yeux, le talent d’un artiste, les souvenirs ou tout simplement la découverte d’une œuvre méconnue : L’AFFICHE !
Un petit florilège de quelques très belles affiches internationales du film L’HISTOIRE SANS FIN.
Également dans la catégorie L’Affiche :
Galaxina / La Galaxie de la Terreur / Star Crystal / Crime Zone / Forbidden World / Nightflyers / Space Raiders / Les Mercenaires de l’Espace / Contamination / L’Humanoïde / Deathstalker / Les Aventures de Jack Burton / Le Retour de Godzilla / New York 1997 / Le Bateau de la Mort / L’Épée Sauvage / The Deadly Spawn / Future-Kill / Terreur Extra-terrestre / The Terror Within / Time Walker / Le Démon dans l’Île / Frayeurs /Mind Warp, an Infinity of Terror / Onde de Choc / Robot Killer / Yor, le Chasseur du Futur / La Septième Dimension / The Brain / Les Captives de l’Espace / La Quatrième Dimension / Toxic Zombies /La Tour de l’Angoisse / Mad Max : des affiches / Slugs / Des Goonies et des affiches / Dune / Le Trou Noir / Street Trash / Dreamscape / Le Choc des Titans / Retour vers le Futur / Le Retour des Tomates Tueuses / Enemy / Saturn 3 / The Thing / Creepshow / Aliens, le Retour / City of the Walking Dead / Les Maîtres du Temps / Atomic Cyborg / Plutonium Baby /Laserblast 2 / Wheels of Terror / Dawn of the Mummy / La Guerre des Mondes, le Prochain Siècle / The Stuff / The Dungeonmaster / The Blade Master / Demonoid, Messenger of Death ! / Warlords
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LE CINOCHE DE TRAPARD : BEYOND THE UNIVERSE (1981)
Ufologie… Hypothèse Gaïa… Trapard nous emmène loin aujourd’hui, oui, beyond the universe même, avec un film en avance sur son temps mais pas sur son rythme…
BEYOND THE UNIVERSE est un film de post-apocalyptique à petit budget, sorti en VHS aux États-Unis, et toujours inédit en DVD en France. Il a été réalisé par le compositeur et publicitaire, Robert Emenegger. Pour présenter Emenegger, il tourna avec le producteur Allan Sandler plusieurs documentaires pour le Departement of Defense of the USA (DoD), en collaboration de l’ufologue, Dr. Hynek. Ces films étaient destinés à améliorer l’image du département d’ufologie au sein du DoD, ainsi qu’à miser sur la fascination du public pour les ovnis, et démontrer que le département considérait avec enthousiasme la perspective de rencontrer des extra-terrestres. Le documentaire en question, UFOs : PAST, PRESENT & FUTURE (1974) est présenté par Rod Serling et il est consultable sur YouTube en V.O. Quand au Dr. Hynek, il est surtout connu du grand public pour avoir été conseiller technique sur RENCONTRES DU TROISIÈME TYPE (1977) de Steven Spielberg. C’est d’ailleurs, Jacques Vallée, l’assistant de docteur Hynek, qui servira de modèle pour le personnage de scientifique joué par François Truffaut. Spielberg rendra aussi hommage à Hynek en le faisant apparaître un instant dans la séquence finale de son film.
Pour en revenir à UFOs : PAST, PRESENT & FUTURE, une anecdote raconte que le Pentagone permit à Emeggener d’utiliser la pellicule d’une longue séquence d’atterrissage extra-terrestre à la base de L’United States Air Force de Holloman au Nouveau Mexique, mais que le gouvernement changea d’idée et confisqua la pellicule. Robert Emenegger devait aussi réaliser pour le DoD, une série de documentaires centrés sur les recherches médicales de l’armée de l’air ainsi que sur certaines découvertes dans le domaine des sciences de l’espace. Mais ces films ne furent jamais réalisés.
Emenegger et le producteur Allan Sandler se tournèrent alors vers la fiction et signèrent un contrat avec les productions Gold Key Entertainment pour écrire, produire et/ou réaliser 10 films de science-fiction entre 1981 et 1981, d’où le côté bâclé de BEYOND THE UNIVERSE.
Parmi ces films, dont deux documentaires, on peut citer CAPTIVE (1980, dans lequel la Terre et la planète Sthyrolia sont en guerre pour la possession des précieux cristaux de Dirathium. Un vaisseau de guerre styrolien est abattu sur Terre, et les extraterrestres survivants arrivent jusqu’à une ferme voisine dont ils prennent la famille en otage). Et THE KILLINGS AT OUTPOST ZETA (1980, qui raconte l’histoire d’une équipe d’hommes et de femmes qui enquêtent sur les morts mystérieuses de deux expéditions vers un monde stratégiquement important mais stérile).
BEYOND THE UNIVERSE est le sixième de cette série de films de SF à petits budgets. Son action se déroule uniquement sur Terre, mais dans un hypothétique futur post-apocalyptique.
L’intrigue : Quand la Terre devient irrémédiablement empoisonnée, un scientifique du 21ème siècle essaie de la sauver après deux guerres atomiques…
Le gros soucis avec ce film c’est que le réalisateur et le producteur-scénariste ont misé sur de longs bavardages moralisateurs en guise d’effets spéciaux, qui se limitent à quelques uniformes et autres menus accessoires futuristes. L’idée intéressante du film et chère aux fans de FINAL FANTASY, sans qu’elle soit explicitement nommée, c’est la fameuse « l’hypothèse Gaïa » développée par des auteurs comme Isaac Asimov, mais plus largement et scientifiquement en 1979 (donc à peine deux ans avant la sortie de BEYOND THE UNIVERSE) par le chimiste James Lovelock.
Selon Wikipedia : « L’hypothèse Gaïa, appelée également hypothèse biogéochimique, est une hypothèse scientifique controversée, initialement avancée par l’écologue anglais James Lovelock en 1970, mais également évoquée par d’autres scientifiques avant lui, selon laquelle la Terre serait « un système physiologique dynamique qui inclut la biosphère et maintient notre planète depuis plus de trois milliards d’années en harmonie avec la vie ». L’ensemble des êtres vivants sur Terre formerait ainsi un vaste super-organisme — appelé « Gaïa », d’après le nom de la déesse de la mythologie grecque personnifiant la Terre — réalisant l’autorégulation de ses composants pour favoriser la vie. Un exemple cité par Lovelock à l’appui de son hypothèse est la composition de l’atmosphère, qui aurait été régulée au cours du temps de manière à permettre le développement et le maintien de la vie. L’hypothèse Gaïa, qui s’est déclinée en plusieurs théories, repose sur un modèle scientifique qui se fonde sur plusieurs constatations écologiques, climatologiques, géologiques ou encore biologiques — à travers la notion d’éco-évolution notamment —, appelé Earth system science. Il en résulte un pronostic alarmiste quant à l’avenir de la biosphère, face au défi du changement climatique notamment. »
BEYOND THE UNIVERSE est un film intéressant et en avance sur son temps, bien qu’il ne se passe pas grand chose à l’écran. Le film tient finalement sur les épaules de l’acteur/producteur David Ladd, fils d’Alan Ladd, qui en dehors d’une poignée de rôles dans des thrillers et dans quelques séries tv, est surtout connu des fans de films fantastiques en tant que producteur de L’EMPRISE DES TÉNÈBRES (1988) de Wes Craven.
- Trapard (CosmoFiction) -
Autres films de la catégorie Le Cinoche de Trapard :
Prisoners of the Lost Universe / Carnage / Matador / Prophecy, le Monstre / Alligator / Killer Klowns from Outer Space / Gunan le Guerrier / Les Yeux de Laura Mars / Nuits de Cauchemar / The Dark / Delirium / Le Cimetière de la Terreur / Zombie Nightmare / Neon Maniacs / Les Forces du Mal / Le Démon des Profondeurs / Adam et Ève contre les Cannibales / Slipstream, le Souffle du Futur / El Aullido del Diablo / La Guerre des Vampires / Desert Alien / La Chasse aux Morts-Vivants / The Pink Chiquitas / Phoenix, the Warrior
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MUSIQUE : DARK CRYSTAL – The Dark Crystal Theme
C’est Jim Henson lui-même qui choisit Trevor Jones (LABYRINTHE, ANGEL HEART, ARACHNOPHOBIE, DARK CITY…), pour composer la musique de son chef-d’œuvre : DARK CRYSTAL (1982). Né en 1949, Trevor Jones, alors seulement âgé de 33 ans, n’avait à son actif que les musiques de deux films réalisés en 1981, THE APPOINTMENT et EXCALIBUR (de John Boorman), si l’on ne compte pas une dizaine de films d’étudiants. Jim Henson désirait un musicien jeune et inventif pour travailler sur son projet. Trevor Jones se montra très enthousiaste à l’idée de participer à DARK CRYSTAL.
« Trevor Jones a composé pour THE DARK CRYSTAL un score considéré comme un grand classique du genre, probablement l’une des plus célèbres partitions du compositeur aux côtés de EXCALIBUR ou THE LAST OF THE MOHICANS », nous dit cinezik.fr. Indubitablement, la B.O. du film est une petite merveille qui nous emmène loin dans les contrées mystérieuses de la fantasy.
Voici son superbe thème interprété par l’orchestre philarmonique de Londres.
- Morbius – (CosmoFiction – morbius501@gmail.com)
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