LE MONSTRE DE LA SEMAINE : LE HOBGOBLIN RATATINÉ
Un monstre des Eighties, invité vedette de la semaine sur CosmoFiction ! Un monstre parmi le florilège infernal des créatures issues des films ou des séries télévisées fantastiques et de science-fiction des années 80 !
Moches, mal fichus, mal animés, maladroits, mal à l’aise et maladifs, les Hobgoblins du film éponyme écrit, produit et réalisé en 1988 par Rick Sloane possèdent tous les critères (je n’ai pas dit Critters…) des vedettes d’un gros nanar au scénario sans queue ni tête (et pourtant…), où les situations s’enchaînent sans aucune cohérence et où les acteurs adultes ressemblent à des gosses de maternelle en train de répéter un spectacle de fin d’année…
Constamment, et c’est ça le pire, on sent la présence des mains « animant » tant bien que mal ces Hobgoblins poilus et verdâtres, un peu à la façon du MUPPET SHOW (mais sans les baguettes) ou, si vous préférez, un peu à la façon de votre petit frère lorsqu’il est en train de secouer sa peluche pour jouer avec… Vous voyez ?…
Heureusement ou non, les bestioles apparaissent finalement très peu à l’écran, le réalisateur ayant sans doute compris qu’il ne pourrait jamais atteindre le niveau d’un GREMLINS de Joe Dante ou d’un CRITTERS de Stephen Herek. Cependant il va jusqu’au bout en nous offrant un spectacle pitoyable de 90 minutes alors que 10 auraient largement suffi.
HOBGOBLINS, reconnu comme un sacré navet bien mûr, a pourtant décroché le titre de film culte auprès de certains. On fera sans moi, merci. À signaler qu’une suite au titre original de HOBGOBLINS 2 est sortie en 2009. Je ne sais pas ce qu’elle vaut, ne l’ayant pas vue. Néanmoins je pense qu’elle ne pourra pas être pire.
Je vous livre tout de même le synopsis de HOBGOBLINS s’il vous intéresse :
« Les hobgoblins sont des petits aliens qui peuvent réaliser tous les souhaits qu’on leur soumet. Toutefois, au cours de la réalisation de ce souhait, ils tuent la personne qui l’a fait… » (Wikipédia)
- Morbius – (CosmoFiction)
Autres Monstres de la Semaine :
Beholder chinois / Créature de Fyrine IV / Sinok / Asticot-géant-violeur de Morganthus / Martien glouton / Ver des sables d’Arrakis / Vermithrax Pejorative / Gremlins / Molasar / Darkness / La Chose / La Mouche / Audrey II / Pinhead / Visiteurs / Cœlacanthe mutant / Dévoreur de Pluton / Le Yautja galactique
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REPORTAGE : ALBATOR
ALBATOR présenté dans l’émission 80 À L’HEURE sur M6 il y a de nombreuses années.
Autres sujets présentés dans la catégorie Reportage :
La Bataille des Planètes / Albator / Making of Terminator / Goldorak / X-Or / Making of Dune / Making of Blade Runner / Making of Contamination / Making of Les Aventures de Jack Burton / Émission Cinéstar de janvier 1988 avec Mathilda May / Rapido spécial Jerry Goldsmith / Making of featurette de Poltergeist / Reportage sur Robocop dans Cinéstar (1988) / Journey to KRULL : The Making of the Film / Gremlins : Behind the Scenes / Making of Freddy 3 / Making of L’Invasion vient de Mars / Making of 2010, L’Année du Premier Contact / Bertrand Cadart, un Frenchie chez Mad Max / Making of Enemy Mine / Reportage sur The Thing / Making of Tygra, la Glace et le Feu / Frazetta par Bakshi / Temps X : Aliens, le Retour / Capitaine Flam / San Ku Kaï
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INDEX DE COSMOFICTION / GUIDE COSMOFICTION

COSMOLECTURES : GÉNÉRATION GALACTIK
Lorsque j’ai plongé pour la première fois dans Génération Galactik, je ne voulais plus en sortir. Et c’est avec un plaisir monstrueux que je l’ai dévoré en un rien de temps ! Ce livre, écrit par Vincent Dubost et publié aux éditions Hors Collection, est un hymne à la gloire des séries animées et feuilletons japonais de la fin des années 70 au début des 80, mais, plus que tout, il vous fait revivre ces incroyables moments merveilleux passés en compagnie de GOLDORAK, d’ALBATOR, d’ULYSSE 31, de CAPITAINE FLAM, de SAN KU KAÏ et de BOMBER X !
Avec un talent remarquable, Vincent Dubost nous raconte son enfance passée bien souvent devant le petit écran, lors des RÉCRÉ A2, en compagnie de ses héros favoris qu’étaient les personnages des premiers dessins animés japonais diffusés en France, sa course pour rentrer chez lui à temps pour suivre leurs exploits, sa passion pour GOLDORAK, ses marchandages avec sa mère pour pouvoir s’acheter des jouets de sa série préférée ! Tout y est, on s’y croirait, car ce qu’il a vécu beaucoup l’ont aussi vécu à cette époque s’ils étaient gamins ou jeunes ados comme moi. On revit ces moments et on jubile, car Vincent Dubost n’a pas son pareil pour nous les raconter en faisant vibrer notre fibre de fan toujours intacte.
Il s’agit ici de la deuxième édition de Génération Galactik. Visiblement, l’ouvrage a connu un succès bien mérité. Dans cette « Nouvelle édition enrichie en fulgur » et datée de novembre 2014, d’incroyables collections d’objets cultes (jouets, magazines, autocollants, crayons, cartables, draps, rideaux, coussins, vêtements, cartes à collectionner, montres, tampons encreurs, disques, etc.) sont dévoilées, s’étalant avec insolence en pleines pages sous nos yeux ébahis. Dans cette caverne d’Ali Baba, certains reconnaîtront peut-être comme moi des jouets, des magazines ou des gadgets qu’ils eurent la chance de posséder à l’époque.
Des reconstitutions ou des photos de chambres de ces années là sont présentées avec toutes leurs décorations de dessins animés japonais. On y retrouve bien des objets typiques de la fin des seventies et du début des eighties. Des extraits de pages de programmes TV sont également présents en compagnie de publicités pour les jouets des dessins animés et séries cités plus haut. Ce livre est un régal, une folie, car c’est là où l’on se dit, démoralisé et détachant nos yeux du bouquin : mais qu’ai-je fait en me débarrassant de tout ça ?… (bon je sais, Didier, ne remue pas le couteau dans la plaie, toi tu les as précieusement gardés pour la plupart). Enfin, c’est pas grave, je me consolerai en me disant que moi au moins j’ai vécu en 1978 la folie GOLDORAK, puis celle d’ALBATOR et de tant d’autres ensuite !
Je vous laisse avec la quatrième de couverture :
« Ou étiez-vous le 3 juillet 1978 à 17 heures, ce fameux jour où Goldorak atterrissait sans prévenir sur la planète RÉCRÉ A2 ? Confortablement installé devant votre poste TV, ou pataugeant déjà sur les plages de la Grande-Motte ?
Que faisiez-vous en ce bel été où la France de Pollux et Colargol basculait subitement dans l’univers de la science-fiction et des tout premiers mangas ? Vous rappelez-vous la rentrée cosmique qui s’ensuivit ? Les innombrables produits dérivés qui inondèrent nos cours d’école ? Étiez-vous de ceux qui troquèrent illico leur cartable Tann’s contre celui du glorieux robot des temps nouveaux ? « Goldorak, go ! »
Vincent Dubost vous fait revivre cette merveilleuse époque : une enfance faite d’insouciance et de Choco Prince, de VISITEURS DU MERCREDI et de fantastique… ALBATOR, SAN KU KAÏ, CAPITAINE FLAM, LA BATAILLE DES PLANÈTES : un océan d’étoiles pour une génération galactik ! »
- Morbius – (CosmoFiction)
MUSIQUE : GÉNÉRATION PERDUE – Lost in the Shadows
GÉNÉRATION PERDUE (Lost Boys, 1987, de Joel Schumacher) s’inscrit dans cette petite vague de films de vampires new look à laquelle nous avons eu droit dans les années 80 avec VAMPIRE, VOUS AVEZ DIT VAMPIRE ? (1985) ou AUX FRONTIÈRES DE L’AUBE (1987).
La musique de GÉNÉRATION PERDUE fut composée par Thomas Newman. Elle comporte cependant plusieurs chansons dont certaines reprises et quelques créations originales comme ce Lost in the Shadows de Lou Gramm, chanteur de rock américain et auteur-compositeur connu pour son rôle en tant que chanteur et coauteur de la plupart des chansons du groupe rock Foreigner.
Lost in the Shadows est ici accompagné d’un large extrait de GÉNÉRATION PERDUE.
- Morbius – (CosmoFiction)
Autres extraits dans la catégorie Musique :
Retour vers le Futur / The Goonies « R » Good Enough / E.T. / Les Mercenaires de l’Espace / Contamination / Flash Gordon / Dune /Leviathan : Main Titles – Underwater Camp / Le Guerrier de l’Espace – Main Title / Star Trek III : Bird of Prey Decloaks /Mad Max 3 : We don’t Need Another Hero / Predator : Main Title / Ghostbusters / Ladyhawke : Main Title / Conan le Barbare : Prologue – Anvil of Crom / Craig Safan dirige l’orchestre pour Starfighter / Dar l’Invincible – Main Theme / Are You Ready For Freddy ? / He’s Back, the Man Behind the Mask / Radio Ga Ga / Une nouvelle version de la musique d’Ulysse 31 /Psycho Therapy /Bye, James Horner… / Vampire, vous avez dit Vampire ? : Give it up / Freddy Krueger – Stormtroopers of Death / Adieu Bowie… / Tygra, la Glace et le Feu : Main Title, Prologue, Nekron’s Assault / Gremlins : Theme / V : Main Title – Final Battle Theme / Aliens : Futile Escape
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SPECIAL GUEST : ISABEAU D’ANJOU
Isabeau d’Anjou, ou la Femme Faucon…
Il était une fois un évêque, laid et cruel, follement amoureux de la belle Isabeau d’Anjou. Mais la damoiselle ne l’aimait pas, préférant à l’homme d’église Ètienne de Navarre, ancien chef de garde. Quand l’évêque découvrit l’amant, fou de rage il pactisa avec le diable et les condamna tous deux à une terrible malédiction. Désormais Étienne de Navarre deviendrait toutes les nuits un loup, alors qu’Isabeau d’Anjou serait le jour un faucon. Ainsi victimes de leur amour interdit, Étienne et Isabeau ne pourraient plus jamais s’aimer sous leur forme humaine…
C’est la merveilleuse Michelle Pfeiffer qui incarne Isabeau d’Anjou dans le magnifique LADYHAWKE (1985), signé Richard Donner (SUPERMAN, LES GOONIES…). Dans ce film à la fois romantique et fantastique, les métamorphoses de la Femme Faucon sont subtiles. Loin d’un déluge d’effets spéciaux ou d’une transformation traumatisante à la façon d’un loup-garou, Isabeau devient faucon dès les premières lueurs orangées de l’aube. Étienne (Rutger Hauer) veille sur elle et la protège. Et qui, mieux que Michelle Pfeiffer, aurait pu prêter sa beauté à Isabeau d’Anjou ?
Cependant comme dans tous les contes, ou presque, l’histoire se termine bien. Isabeau retrouvera son apparence normale en compagnie d’Étienne grâce à un phénomène naturel bienvenu : une éclipse. Le méchant évêque sera tué et nos deux tourtereaux pourront vivre à jamais leur amour. Mais l’histoire ne nous dit pas s’ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…
- Morbius – (CosmoFiction)
Autres vedettes de Special Guest :
Ursa / Mike Donovan / Max Rockatansky / Bub / Peter Vincent / Alex Rogan / Rick Deckard
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