Archive pour février, 2016

SPECIAL GUEST : RICK DECKARD

SPECIAL GUEST : RICK DECKARD dans Blade Runner 16022710005515263614010981Rick Deckard est un flic « blade runner » du Los Angeles du futur en l’an 2019. Habillé en civil, il est chargé de traquer et d’éliminer les réplicants déclarés illégaux, des androïdes renégats ressemblant en tous points à un être humain. C’est un flic froid et déterminé, qui n’hésite pas à poursuivre sa proie jusqu’à son élimination.

Bryant, chef des blade runner, confie une nouvelle mission à Deckard : retrouver quatre réplicants meurtriers prénommés Leon, Zhora, Pris et Roy, le chef du groupe. Cependant, au cours d’une enquête, Deckard finit par tomber amoureux de la réplicante Rachel, sacrément accro aux cigarettes et assistante d’Eldon Tyrell (concepteur du cerveau des réplicants), une femme qui ne sait pas qu’elle est une androïde. Mais petit à petit le doute s’installe : Deckard serait-il lui-même un réplicant qui s’ignore ?… Vous devriez le savoir prochainement avec la suite de BLADE RUNNER.

Harrison Ford interprète à la perfection Deckard pour le plus grand bonheur du spectateur et de Philip K. Dick lui-même, auteur du roman Les Androïdes rêvent-ils de Moutons électriques ? à l’origine du film. En effet, celui-ci confia que l’acteur Harrison Ford était le choix idéal pour incarner Deckard. L’écrivain mourut malheureusement l’année de la sortie de BLADE RUNNER, en 1982. Harrison Ford a repris récemment son rôle pour la suite de BLADE RUNNER.

- Morbius – (CosmoFiction)

16022710025715263614010983 dans CINÉMA

Autres vedettes de Special Guest :

Ursa / Mike Donovan / Max Rockatansky / Bub / Peter Vincent / Alex Rogan

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INSTANTANÉ : KING KONG 2 (1986)

INSTANTANÉ : KING KONG 2 (1986) dans CINÉMA 16022608350915263614008504

(CosmoFiction)

STUART GORDON ET « FROM BEYOND »

Stuart Gordon, le réalisateur de FROM BEYOND : AUX PORTES DE L’AU-DELÀ (1986), s’explique ici sur les références sexuelles de son film par rapport à la nouvelle de H.P. Lovecraft : « À mon avis, l’œuvre de Lovecraft ne STUART GORDON ET manque pas d’implications sexuelles, mais elles ne sont pas explicites. L’histoire se déroule dans le Massachusetts, là où on brûlait les sorcières jadis, dans des villes comme Salem… Lovecraft esquisse un monde de pureté et les conflits qui vont de pair avec ce monde de pureté suggèrent un univers spirituel plutôt étrange. La pureté y est omniprésente, mais le mal n’en est pas éloigné. Pour moi, si Lovecraft a décrit ces endroits, ces lieux, c’était pour mieux mettre en valeur le fait que chez les êtres les plus déprimés on trouve toujours le rêve de l’égo, et que c’est un mal inconscient d’une puissance incroyable. Et je pense que c’est une idée qui charrie des implications sexuelles évidentes. »

(L’Écran Fantastique n°77 – février 1987) (CosmoFiction)

LE MONSTRE DE LA SEMAINE : PINHEAD

Un monstre des Eighties, invité vedette de la semaine sur CosmoFiction ! Un monstre parmi le florilège infernal des créatures issues des films ou des séries télévisées fantastiques et de science-fiction des années 80 ! 

LE MONSTRE DE LA SEMAINE : PINHEAD dans CINÉMA 16021307292615263613970602

C’est forcément la folie Rubik’s Cube des années 80 qui a inspiré Clive Barker… forcément…

Certainement agacé par ce jeu dont il ne parvenait pas à comprendre la logique et dont il se lamentait à longueur de temps, notre bon vieux Clive a un jour piqué une telle colère qu’il a éclaté son Cube de 16021307314715263613970605 dans HellraiserRubik contre un mur. Et c’est là où il a hurlé, la bave aux lèvres et les yeux exorbités : « JE VAIS PRENDRE MA REVANCHE ! » Son cerveau de romancier de l’effroi a fait le reste. Ainsi fut créé le Cube de Lament, bien moins coloré que le Rubik’s Cube et surtout plus facile à manipuler, mais bien plus redoutable une fois que l’on a accompli la bonne combinaison qui donne accès au monde des Cénobites, là où se cache Pinhead…

Pinhead, de la série cinématographique HELLRAISER, débuté en 1987 avec HELLRAISER : LE PACTE (de Clive Barker), fut d’abord un être humain avant de devenir l’immonde Cénobite surnommé « Lead Cenobite » (« L’Ange de la Souffrance » ou « Le Prince Noir de la Douleur »). En effet, il s’agissait au départ du capitaine Elliott Spencer, explorateur et vétéran de l’armée britannique fort apprécié, né en 1893 et mort en 1930. Mais après les horreurs de la Première Guerre mondiale, Elliott Spencer s’avère traumatisé et dégoûté par la race humaine.

C’est la découverte d’un objet étrange, le Cube de Lament (« The Lament Configuration »), qui va entraîner la métamorphose totale du capitaine en Pinhead. Ce cube, véritable puzzle démoniaque, va lui ouvrir une porte entre notre monde et celui des Cénobites, des créatures infernales. Dès lors, Elliott Spencer perdra définitivement son âme et tout souvenir de sa vie antérieure pour devenir Pinhead, une créature entièrement dévouée au culte du sado-masochisme. Son visage quadrillé sera recouvert d’épingles (« Pinhead » signifiant « Tête d’épingle ») et Pinhead portera désormais une robe de cuir noir.

16021307360015263613970606 dans HORREURDevenu le chef des Cénobites, Pinhead est guidé dans ses actes par le cube. Il s’exprime d’une voix déshumanisée, peut lacérer les chairs de ses victimes à l’aide de crochets et transformer ses proies en Cénobites.

Pinhead est incarné au cinéma par Doug Bradley.

Clive Barker , écrivain et cinéaste à l’origine des Cénobites de HELLRAISER, déclare à propos de ses créatures infernales : « Les Cénobites sont les créatures de l’autre monde. Ce sont des êtres sans âge, passés maîtres dans l’art des plaisirs raffinés, et ils ont poussé à son paroxysme celui qui consiste à déchiqueter leur propre corps pour le reconstituer de toutes sortes de façons à l’aide de crochets et autres systèmes. C’est une forme d’esthétique, après tout… Ils sont donc tous différents : il y en a un, le chef, qui a des clous dans le crâne, un autre, que nous avons baptisé Pauvre Diable, n’a pas d’yeux, mais la bouche maintenue grande ouverte par du fil de fer. Il y a une femelle avec une plaie béante dans le cou qu’elle ouvre en permanence à l’aide de fil de fer, encore… »

- Morbius – (CosmoFiction)

Autres Monstres de la Semaine :

Beholder chinois / Créature de Fyrine IV / Sinok / Asticot-géant-violeur de Morganthus / Martien glouton / Ver des sables d’Arrakis / Vermithrax Pejorative / Gremlins / Molasar / Darkness / La Chose / La Mouche / Audrey II

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INSTANTANÉ : SANS ISSUE (1986)

INSTANTANÉ : SANS ISSUE (1986) dans CINÉMA 16021008463515263613963223

(CosmoFiction)

L’AFFICHE : AFFICHES DE « SATURN 3″ (1980)

Pour le plaisir des yeux, le talent d’un artiste, les souvenirs ou tout simplement la découverte d’une œuvre méconnue : L’AFFICHE !

Petite sélection d’affiches internationales du film de science-fiction : SATURN 3 (de Stanley Donen). L’histoire : « Deux savants, travaillant sur le satellite Saturn 3, sont perturbés par une troisième personne, le capitaine James. Celui-ci se révèle de plus en plus dangereux, et leur impose son robot meurtrier… » (allocine.fr)

Dans les rôles principaux, nous trouvons un Kirk Douglas en pleine forme, une Farrah Fawcett toujours très belle mais comme d’habitude assez cruche (les rôles qu’on lui proposait à ses débuts…) et un Harvey Keitel (TAXI DRIVER, THELMA ET LOUISE…) parfait. Ah, et j’allais oublier Hector ! Oui, enfin, c’est le méchant robot du film (sa fiche ici), tout de même impressionnant et redoutable, qui mérite qu’on le signale !

Ci-dessous, première affiche de SATURN 3, utilisée dans les pays anglo-saxons (et qui servit également pour la jaquette de la VHS française, si mes souvenirs sont bons…). Ma préférée, avec le grand Hector en vedette et de jolis tons bleutés…

L'AFFICHE : AFFICHES DE

Deuxième affiche, cette fois française, plus sobre, avec un casque d’astronaute du film flottant dans l’espace… câbles arrachés, comme une tête décapitée. On a davantage l’impression de voir la tête d’un robot alors qu’il ne s’agit absolument pas du robot vedette du film… Confusion volontaire ou erreur de l’artiste ?

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Cette troisième affiche de SATURN 3 est japonaise. C’est un peu le grand foutoir, on n’y comprend rien. En fait, on y voit au centre la station spatiale du début du film avec ses deux grands « bras », un vaisseau qui apparaît brièvement dans une scène, Hector le robot vedette et, tout en bas, à gauche, nos astronautes en couloir de décontamination. Pas franchement très réussie comme version.

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Quatrième affiche… espagnole… mexicaine… ? J’ai besoin des services de Trapard pour me le confirmer, hé, hé ! Si les visages en grand de Farrah Fawcett et de Kirk Douglas sont assez bien réussis, ce n’est plus franchement le cas plus bas, à droite, où Farrah Fawcett, littéralement défigurée, ressemble à une sorcière échappée d’un film de Dario Argento… Les couleurs chaudes prédominent pour un film… glacial…

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On termine par l’affiche de SATURN 3, la plus… comment dire… la plus… la plus craignos ?… la plus laide ?… la plus BD ?… Mais quel rapport avec la BD, SATURN 3 ? Mais qu’avait fumé l’artiste avant de réaliser cette affiche venue d’ailleurs ? Venue d’où, justement ? Eh bien je n’en sais rien ! Cependant mon petit doigt me dit qu’elle vient forcément d’Europe (oui, oui, facile, je sais), peut-être de Pologne ou de Hongrie… Certainement de ce même pays qui avait déjà outrageusement déformé les affiches de certains STAR WARS de la trilogie classique, oui, rappelez-vous ! Je me demande sincèrement comment un cinéphile de ces lointaines contrées peut se faire une idée du film rien qu’en regardant l’affiche… « Ah ! Encore un dessin animé ! » doit-il se dire… Ou alors « Tiens, un film ésotérique ! »… Affiche collector ? Certainement ! Plus c’est fou, plus ça plaît.

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- Morbius – (CosmoFiction)

Également dans la catégorie L’Affiche :

Galaxina / La Galaxie de la Terreur / Star Crystal / Crime Zone / Forbidden World / Nightflyers / Space Raiders / Les Mercenaires de l’Espace / Contamination / L’Humanoïde / Deathstalker / Les Aventures de Jack Burton / Le Retour de Godzilla / New York 1997 / Le Bateau de la Mort / L’Épée Sauvage / The Deadly Spawn / Future-Kill / Terreur Extra-terrestre / The Terror Within / Time Walker / Le Démon dans l’Île / Frayeurs /Mind Warp, an Infinity of Terror / Onde de Choc / Robot Killer / Yor, le Chasseur du Futur / La Septième Dimension / The Brain / Les Captives de l’Espace / La Quatrième Dimension / Toxic Zombies /La Tour de l’Angoisse / Mad Max : des affiches / Slugs / Des Goonies et des affiches / Dune / Le Trou Noir / Street Trash / Dreamscape / Le Choc des Titans / Retour vers le Futur / Le Retour des Tomates Tueuses / Enemy

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COSMOCRITIQUE : PROJECT-X (1987)

COSMOCRITIQUE : PROJECT-X (1987) dans CINÉMA 14011101120715263611887117

La catégorie Cosmocritique accueille les anciennes « critiques » publiées dans les numéros des années 80 de CosmoFiction Fanzine. L’équipe était alors très jeune. Notre passion se lisait à travers nos textes et notre engouement aveuglait parfois notre sens critique ! Mais peu importe, au moins nous vivions intensément nos rêves sans nous soucier du « qu’en-dira-t-on ».

16020506435015263613949230 dans COSMOCRITIQUE16020506483415263613949232 dans FANZINE COSMOFICTIONIl faut croire que les singes étaient très à la mode dans les films des années 80. On en rencontre ainsi dans LINK (1986), INCIDENTS DE PARCOURS (1988) et bien sûr PROJECT-X (1987) de Jonathan Kaplan. Voici la critique de Paul-Étienne parue dans le numéro 2 de CosmoFiction, en juin 1988. On notera que notre ami s’est trompé concernant le compositeur de la musique du film. En effet, il ne s’agit pas de Jerry Goldsmith mais de James Horner. À force d’imiter son maître, Horner a fini par lui ressembler au point qu’on le confonde !

L’histoire : « Virgil, chimpanzé d’Afrique, est vendu à l’Université du Wisconsin où Teri McDonald lui apprend les bases du langage des sourds. Le projet est interrompu brutalement et Virgil se retrouve comme bien d’autres singes, dans la base de Lockridge. Jimmy Garrett, jeune pilote commet une grave infraction et se trouve muté dans la même base. » (Wikipédia)

Attention, ne vous y trompez pas, la présence de Matthew Broderick au générique n’est pas – une fois n’est pas coutume – synonyme d’humour et d’action. Et PROJECT-X ne se classe pas, à proprement parler, dans la catégorie des films purement fantastiques, car il relate en fait les expériences radio-actives réalisées par l’armée américaine sur des cobayes de choix : des singes.

Notre copain Matthew qui, après avoir trop « joué » avec les autorités militaires, est nouveau dans le service (celui des éleveurs de singes) va réellement se prendre d’affection pour un de ces primates adorables dont il se refusera à précipiter la mort.

L’originalité de ce film réside dans le fait qu’ici sont dénoncées les expériences génétiques sur les animaux, le réalisateur jouant habilement avec nos sentiments en nous imposant des personnages gentils, 16020506453815263613949231 dans SCIENCE-FICTIONfrancs comme l’or, et des méchants sans scrupules, le tout orchestré par une musique poignante de master Jerry Goldsmith… Mais le pire, c’est qu’on marche de bout en bout : l’intrigue se tient, le suspense est bien servi, et il faut une dépense d’énergie considérable pour retenir ses larmes.

Matthew Broderick se sort parfaitement du stéréotype dans lequel on l’avait enfermé et campe ici un personnage totalement opposé à ses précédents rôles, à savoir : celui d’un jeune homme mûr, intelligent, mais il est toujours aussi sympathique ! Espérons que l’accident dont il a récemment été victime ne le traumatisera pas trop et qu’il continuera à jouer dans d’aussi beaux films. Des œuvres comme celles-ci, on n’en fait plus, en a-t-on seulement jamais fait ? C’est en tout cas un des films les plus poignants et émouvants jamais fait depuis… E.T. !

- Paul-Étienne - (CosmoFiction)

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Également dans la catégorie Cosmocritique :

Gremlins / Terminator / Les Goonies / 2010, l’Année du Premier Contact / Les Aventuriers de la Quatrième Dimension / Histoires Fantastiques / Hellraiser, le Pacte / Cocoon / Princess Bride / Running Man / Miracle sur la 8e Rue / Starman / Legend / Incidents de Parcours / Superman IV : le Face à Face / Retour vers le Futur / Labyrinthe / Génération Perdue / Starfighter / Hidden / Le Blob / Willow / Les Maîtres de l’Univers / Elmer, le Remue-Méninges / Retour vers le Futur 2 & Retour vers le Futur 3 / Dolls / Les Sorcières d’Eastwick / La Folle Histoire de l’Espace / Brazil / Androïde / L’Amie Mortelle / Flic ou Zombie / Vampire… vous avez dit Vampire ? 2 / Electric Dreams / Lifeforce

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SÉQUENCE VIDÉO : LES MAÎTRES DU TEMPS (1982)

Doit-on encore présenter LES MAÎTRES DU TEMPS, chef-d’œuvre de l’animation française ? Peut-être, pour les nouvelles générations en quête de découvertes fabuleuses !

L’histoire : « Piel, un petit garçon en compagnie de son père, atterrit sur une planète sauvage, Perdide. Avant de mourir, son père réussit à contacter son ami Jaffar, et lui demande de sauver son fils Piel, désormais seul sur cette planète. Piel reçoit de son père un microphone, son seul moyen de contact avec Jaffar qui, avec des compagnons, vont lui parler tout au long du voyage en lui donnant de judicieux conseils. En compagnie de son vieil ami Silbad, un vieux boucanier rusé et plein de ressources, Jaffar se dirige vers Perdide pour sauver le petit Piel. Mais plusieurs incidents vont se dérouler au cours de l’aventure… sans compter que l’espace recèle bien des mystères. » (Wikipédia)

Réalisé en 1982 par René Laloux (LA PLANÈTE SAUVAGE, GANDAHAR…), dessiné par Moebius et inspiré du roman L’Orphelin de Perdide de Stefan Wul, LES MAÎTRES DU TEMPS est l’un des plus beaux dessins animés de science-fiction des années 80. Sa bande originale accompagne merveilleusement son histoire qui bénéficie notamment de très beaux décors et de bruitages soignés. Même s’il s’adresse d’abord aux enfants (je ne suis pas sûr qu’ils comprennent toute l’intrigue cependant…), LES MAÎTRES DU TEMPS n’en demeure pas moins passionnant pour qui a su garder, comme on dit, son « âme d’enfant » !

- Morbius – (CosmoFiction)

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Autres extraits de la Séquence Vidéo :

Hercule (1983) : Le combat contre l’hydre / Le Secret de la Pyramide : le vitrail / L’Humanoïde / Les Mercenaires de l’Espace

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