COSMOSAMEDI
Plongez dans les Eighties de la SF et du Fantastique avec le programme de CosmoSamedi ! Vous y trouverez des épisodes complets de séries télévisées, de dessins animés et même parfois des films, le tout déniché sur YouTube, Dailymotion et compagnie. Puisqu’ils sont disponibles, profitons-en et régalons-nous avec un samedi très CosmoFiction !
Pour ce samedi, CosmoFiction a sélectionné pour vous quatre épisodes de séries télévisées et de dessins animés avec LES CAUCHEMARS DE FREDDY, LES MAÎTRES DE L’UNIVERS, MANIMAL et BOMBER X. Voilà qui devrait rappeler des souvenirs pour certains…
LES CAUCHEMARS DE FREDDY
« FREDDY, LE CAUCHEMAR DE VOS NUITS ou LES CAUCHEMARS DE FREDDY (Freddy’s Nightmares, a Nightmare on Elm Street: The Series) est une série télévisée américaine en 44 épisodes de 50 minutes, créée d’après le film LES GRIFFES DE LA NUIT de Wes Craven et diffusée entre le 9 octobre 1988 au 11 mars 1990 en syndication. En France, les deux saisons ont été diffusées tous les samedis vers minuit, après l’émission Sangria du 14 septembre 1991 au 11 avril 1992 sur La Cinq. Puis sur Ciné FX et la première rediffusée à partir du 6 mars 2006 sur MCM. » (Wikipédia)
« Lorsque Freddy est acquitté du massacre des enfants innocents, une foule enragée et assoiffée de vengeance, menée par les parents des victimes, se soulève contre l’homme au chapeau mou et aux griffes d’acier. »
Épisode C’était un tendre (à voir ICI sur Dailymotion)
LES MAÎTRES DE L’UNIVERS
« LES MAÎTRES DE L’UNIVERS (He-Man and the Masters of the Universe) est une série télévisée d’animation américaine en 130 épisodes de 21 minutes créée par Lou Scheimer et Hal Sutherland. Produite par Filmation pour servir de support promotionnel de la gamme de figurines Mattel, elle a été diffusée aux États-Unis en syndication entre le 5 septembre 1983 et le 8 décembre 1984, en France à partir du 6 janvier 1984 sur Antenne 2 dans l’émission Récré A2 et en Belgique sur RTL dans l’émission Chocolat Show. Seuls 82 épisodes ont été doublés à l’époque de la diffusion. Les épisodes restants l’ont été en 2002 à l’occasion de la sortie du coffret DVD. » (Wikipédia)
Épisode Banni par Skeletor (à voir ICI sur Dailymotion)
MANIMAL
« MANIMAL est une série télévisée américaine en un pilote de 90 minutes et sept épisodes de 45 minutes, créée par Glen A. Larson et Donald R. Boyle et diffusée entre le 30 septembre et le 17 décembre 1983 sur le réseau NBC. En France, la série a été diffusée du 26 juin au 9 août 1985 sur FR3. Rediffusions dès 1987 sur TF1 dans La Une est à vous, été 1991 sur La Cinq dans A nous La Cinq, et été 1996 sur M6. » (Wikipédia)
Épisode Manimal
« Des recoins les plus profonds de l’Afrique au plus haut sommet du Tibet, Jonathan Chase a étudié pendant de longues années les mystères indicibles de la Nature et les liens entre les animaux et l’Homme. Détenteur d’un secret ancestral, il est désormais capable de se transformer en n’importe quel animal. Professeur à l’Université de New York, il aide également la police dans ses enquêtes. En compagnie de Ty, un ancien camarade de l’armée, et Brooke, une séduisante policière, Jonathan « Manimal » Chase combat le crime. »
BOMBER X
« BOMBER X (Xボンバー - Ekkusu Bonbā) est une série télévisée de science-fiction japonaise réalisée à base de marionnettes animées, en 26 épisodes de 25 minutes, créée par Go Nagai en 1980. En France, la série a été diffusée à partir du 21 septembre 1983 sur TF1 dans l’émission Vitamine. Boudée au Japon, elle a en revanche connu un succès important outre-manche, sous le nom de « Star Fleet ». » (Wikipédia)
Épisode L’Attaque (à voir ICI sur Dailymotion)
COSMOPAGE : COUVERTURE DU NUMÉRO 3 – OCTOBRE 1984
CosmoFiction ayant été un fanzine avant de devenir un blog, nous vous présentons régulièrement des pages de ses vieux numéros scannés. Un retour à une époque où les fanzines étaient faits à partir de collages, de marqueurs indélébiles et de machines à écrire !
Alors là, je remonte à il y a très longtemps ! Nous voici en octobre 1984, et CosmoFiction Fanzine première génération en est seulement à son troisième petit numéro…
Comme on le voit ici, le papier utilisé est de couleur jaune-orange. Ce sera d’ailleurs la première et dernière fois. Collector ! En fait, je m’en souviens encore très bien, c’est parce que la libraire (une Martiniquaise très peu aimable) n’avait plus du tout de papier blanc. Elle m’a donc proposé celui-ci, et j’en étais plutôt ravi. Enfin un peu de couleurs dans Cosmo !
Les premiers numéros étaient photocopiés à la librairie JPL de Nouméa, celle qui se situait en face du Haut-commissariat (une autre, plus petite, se trouvait Vallée des Colons). C’était aussi le début des photocopieurs. Je sentais très bien que je lui cassais les pieds à cette libraire martiniquaise avec mes petits tirages de fanzines, elle ne se privait d’ailleurs pas de me faire ses réflexions en ronchonnant doucement car elle ne maîtrisait pas vraiment l’appareil, à tel point qu’elle ne me tirait mes photocops qu’en recto, et non recto-verso…
Je n’hésitais pas au tout début de CosmoFiction Fanzine à écrire des textes à la main directement sur les couvertures… Ça me fait rire aujourd’hui ! Le reste était dactylographié et décoré au marqueur noir. Pour ce troisième numéro, gratuit (distribué aux potes), je signais là un petit édito et rappelais ce qu’est un fanzine en reproduisant la suite du texte (très mal coupé !) de L’Encyclopédie de la Science-Fiction (éd. CIL Beaux Livres).
Pour cette Une, j’avais utilisé une image publiée dans un Starlog, si mes souvenirs sont bons. On y voit l’Enterprise percuté par le Tardis du Docteur ! C’était juste en illustration car aucun article n’était consacré à STAR TREK ou au DOCTOR WHO. À l’inverse, le sommaire annonçait : THE THING, E.T., LES MERCENAIRES DE L’ESPACE et une nouvelle de David Colas, un copain grand fan de Bowie et qui aimait écrire : Au-delà de… la Muse Bleue. J’avais également rédigé un article intitulé « En parcourant le Nouméa SF ». J’y récapitulais tous les endroits de la ville où l’on pouvait trouver quelques livres, magazines, BD ou cassettes vidéo de SF et de fantastique.
- Morbius – (CosmoFiction)
Également dans la catégorie Cosmopage :
Couverture du numéro 8 – juillet 1985 / Éditorial du numéro 1 – avril 1988 / Couverture du numéro 14 – février 1986 /Dessin de Pumpkinhead – janvier 1990 / Couverture du numéro 1 – avril 1988 / Star Blagues – août 1988 /Couverture du numéro 11 – octobre 1985 / Portrait de John Carpenter – novembre 1988 / Couverture du numéro 12 – décembre 1985 / Portrait de Sigourney Weaver – août 1988 / Rétrospective E.T. – août 1988 / Interview exclusive d’Hélène Oswald – janvier 1990 / Portrait de Tobe Hooper – août 1988 / Couverture du numéro 6 – avril 1991 /Couverture du numéro 17 – août 1986 / BD « Vampires ! » – numéro 11 – octobre 1985 / Couverture du numéro 5 – janvier 1990 / Rubrique Cosmolectures – numéro 6 – avril 1991 / L’alien Giger – numéro 5 – janvier 1990 / Dossier Evil Dead – numéro 2 – juin 1988 / L’univers des jeux de rôle – numéro 2 – juin 1988 /Couverture du numéro 4 – mars 1985 / Zone critique – numéro 4 – novembre 1988 / Affiche des 24H du Fantastique – numéro 3 – août 1988 / Le Domaine du Fanatique – numéro 9 – août 1985 / Les Feuillets d’Hypnos – numéro 4 – novembre 1988 / Couverture du numéro 4 – novembre 1988 / Le Domaine du Fanatique – numéro 3 – août 1988 / Le Domaine du Fanatique – numéro 4 – novembre 1988 /Hommage à Star Wars – numéro 2 – juin 1988 / Star Blagues – numéro 2 – juin 1988 / News from Outer Space – numéro 5 – janvier 1990 / Couverture du numéro 3 – août 1988 / Couverture du numéro 7 – janvier 2016 / Sous la baguette de John Williams – numéro 2 – juin 1988 / Vidéo Écran – numéro 14 – février 1986 /BD « Se méfier d’un Wookie » – numéro 17 – août 1986 / Jeux – numéro 5 – janvier 1990 / La deuxième éditions des 24H du Fantastique – numéro 4 – novembre 1988
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REPORTAGE : THE THING (1982)
C’est une featurette d’époque (en V.O.) sur le chef-d’œuvre de SF horrifique THE THING, que CosmoFiction vous propose aujourd’hui. Vu la mauvaise qualité des images et du son, il s’agit d’un programme télévisé enregistré sur VHS. Mais comme d’habitude, quand on trouve une perle rare, on vous la propose. Ce reportage s’articule principalement autour des interviews de John Carpenter (réalisateur), de Kurt Russel (acteur), de Rob Bottin (spécialistes des effets spéciaux de maquillage) et de quelques extraits du films, dont certains, malheureusement très rares, sur les lieux de tournage.
- Morbius – (CosmoFiction)
Autres sujets présentés dans la catégorie Reportage :
La Bataille des Planètes / Albator / Making of Terminator / Goldorak / X-Or / Making of Dune / Making of Blade Runner / Making of Contamination / Making of Les Aventures de Jack Burton / Émission Cinéstar de janvier 1988 avec Mathilda May / Rapido spécial Jerry Goldsmith / Making of featurette de Poltergeist / Reportage sur Robocop dans Cinéstar (1988) / Journey to KRULL : The Making of the Film / Gremlins : Behind the Scenes / Making of Freddy 3 / Making of L’Invasion vient de Mars / Making of 2010, L’Année du Premier Contact / Bertrand Cadart, un Frenchie chez Mad Max / Making of Enemy Mine
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LA BANDE-ANNONCE : LES AVENTURES DE BUCKAROO BANZAÏ À TRAVERS LA 8e DIMENSION (1984)
La bande-annonce, pour se rappeler de bons ou de mauvais souvenirs, ou tout simplement pour titiller votre curiosité !
LES AVENTURES DE BUCKAROO BANZAÏ À TRAVERS LA 8e DIMENSION (The Adventures of Buckaroo Banzaï Across the 8th Dimesion), c’est aujourd’hui un film culte à 100%. Et pourquoi donc ? Jugez plutôt l’histoire :
« Buckaroo Banzaï, jeune neurochirurgien rockstar, franchit la barrière de la 8e dimension au volant de son auto expérimentale, grâce à son invention, l’Oscillateur. Le Dr Emilio Lizardo échafaude un plan pour dérober le Overthruster et ramener avec lui une armée démoniaque d’extra-terrestres dans le but de détruire la Terre… » (Wikipédia)
Vous avez compris quelque chose ? Non ? C’est normal : voyez vite BUCKAROO BANZAÏ et vous découvrirez alors une œuvre qui se situe au-delà de votre imagination ! En effet, on ne pourra pas reprocher au film son manque d’originalité, ni d’ailleurs son incroyable casting composé de Peter Weller (ROBOCOP), John Lithgow (2010), Jeff Goldblum (LA MOUCHE) et Christopher Lloyd (RETOUR VERS LE FUTUR) ! Oui, rien que ça !
Indéfinissable, inimitable et inaltérable, LES AVENTURES DE BUCKAROO BANZAÏ À TRAVERS LA 8e DIMENSION, réalisé par W. D. Richter, possède tous les attraits d’un véritable film extraterrestre. Voici sa nouvelle bande-annonce revue et corrigée en version HD :
- Morbius – (CosmoFiction)
Autres bandes-annonces de la catégorie :
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COSMOFICHE : WOLFEN (1981)
WOLFEN
Année : 1981
Réalisation : Michael Wadleigh
Scénario : Michael Wadleigh, David Eyre et Eric Roth, d’après le roman de Whitley Strieber « The Wolfen »
Production : Rupert Hitzig et Alan King
Musique : James Horner
Effets spéciaux / Maquillages : Robert Blalack / Carl Fullerton
Pays : U.S.A
Durée : 115 min
Interprètes : Albert Finney, Diane Venora, Edward James Olmos, Gregory Hines…
L’HISTOIRE
Une étrange série de meurtres a lieu en plein coeur de New-York. À chaque fois les victimes sont retrouvées étrangement mutilées. Un policier new-yorkais, Dewey Wilson (Albert Finney), est chargé de l’enquête. Petit à petit, ses découvertes vont le mener sur la piste des loups, mais pas de n’importe quels loups…
DES LOUPS SUR WALL STREET
WOLFEN a été le premier film fantastique à employer la caméra à infrarouge pour suggérer une vision, ici celle des loups, ce que PREDATOR utilisera à son tour quelques années plus tard. C’est Garret Brown en personne, inventeur de la Steadycam, qui se chargea de tourner les plans à ras du sol afin de simuler les mouvements des loups avant leurs attaques foudroyantes. Douze loups furent utilisés pour les besoins du film et logés dans un ranch du New Jersey car la production refusa de les garder sur le lieu de tournage : Wall Street… De même, pour la dernière scène du film, une équipe spéciale fut employée pour fermer les bouches de métro, les entrées des magasins et des immeubles, avec l’installation de palissades de cinq mètres de haut aux intersections des rues. À une époque où le numérique n’existait pas encore, une tête spéciale fut conçue pour l’impressionnante scène de décapitation de l’un des protagonistes. Carl Fullerton lui donna un cou flexible en gélatine et une armature en aluminium, le tout pour un résultat extrêmement convaincant à l’écran !
LE CASTING
Albert Finney incarne un flic new-yorkais nonchalant et rodé qui se goinfre de gâteaux lors des autopsies. Alors que plus rien ne semble ni le surprendre ni l’effrayer, il va peu à peu se plonger à corps perdu dans son enquête, utilisant les services de son ami spécialiste des autopsies, Whittington (Gregory Hines), le Black de service qui apporte sa touche d’humour bienvenue dans un film ô combien stressant, mais aussi ceux de Rebecca Neff (Diane Venora), psychologue spécialisée quant à elle dans les groupes terroristes. On trouve également Edward James Olmos à ses débuts (lequel est surtout connu aujourd’hui pour son rôle d’Adama dans la nouvelle série Battlestar Galactica) dans la peau d’un Indien plutôt inquiétant.
LA MORALE DE L’HISTOIRE
Film écologique, WOLFEN dénonce l’extermination des espèces, le saccage de la nature et l’anéantissement de l’identité culturelle des peuples autochrones, ici les Indiens d’Amérique, par la colonisation et le monde moderne. Les loups sont dans WOLFEN des sortes d’entités surnaturelles, « la réincarnation d’esprits Indiens revenus pour se venger des descendants de ceux qui ont violé leurs terres et leur sang » (horreur.com).
UN SUSPENSE INTENSE POUR UNE RÉUSSITE TOTALE
WOLFEN entretient sans cesse un climat mettant les nerfs à rude épreuve : par la vision des loups, par des yeux brillants entraperçus dans l’obscurité, par des sortes de cris à glacer le sang entendus dans une chapelle en ruine, par des attaques aussi inattendues que violentes… WOLFEN a le don de faire partie de ces films d’horreur très rares où le suspense est plus qu’intense car on ne sait jamais ce qui va réellement se passer, et QUI va y passer ! Le spectateur est jeté en pâture à ces loups magnifiques et impressionnants qui font du film de Michael Wadleigh une belle réussite, sans compter la très bonne musique du film composée par James Horner (AVATAR, TITANIC…). WOLFEN a reçu le Prix Spécial du Jury au festival d’Avoriaz de 1982 et, pour l’anecdote, il a même inspiré le groupe Metallica pour la chanson « Of Wolf and Men. »
- Morbius – (CosmoFiction)
Également dans la catégorie Cosmofiche :
Starfighter / Tron / Dark Crystal / Lifeforce / Vampire, vous avez dit Vampire ? / Enemy / Krull / Le Dragon du Lac de Feu / Flash Gordon / La Mouche /La Galaxie de la Terreur / Le Choc des Titans
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INDEX DE COSMOFICTION / GUIDE COSMOFICTION
TONY SCOTT, JIM HENSON ET DAVID BOWIE
La disparition de David Bowie ébranle le monde de la musique, mais il fait aussi resurgir de vieux souvenirs quant à la participation du chanteur dans des rôles de personnages inquiétants, fascinants et ambigus dans le cinéma fantastique des années 80. David Bowie a en effet incarné un vampire dandy aux côtés de Catherine Deneuve dans LES PRÉDATEURS (The Hunger, de Tony Scott) en 1983, puis Jarreth, le cruel roi des gobelins dans LABYRINTHE (Labyrinth, de Jim Henson) en 1986. Voici quelques extraits d’interviews parues à l’époque dans L’Écran Fantastique où Tony Scott et Jim Henson nous parlent du chanteur-comédien.
Tony Scott, réalisateur du film LES PRÉDATEURS :
« C’est un très grand professionnel. Il était parfois un peu tendu avant certaines scènes, mais cela se passait finalement toujours bien. Il est extrêmement précis et, ce qui est très important, collabore vraiment : il a des idées sur la mise en scène, sur la façon de filmer. Il se sent concerné par tout ce qui touche au film et c’est vraiment agréable de travailler avec lui. J’ai eu beaucoup de chance parce qu’il me semble qu’entre lui et Catherine Deneuve, la sympathie est immédiatement passée… » (L’Écran Fantastique n°36 – juillet-août 1983)
Jim Henson, réalisateur du film LABYRINTHE :
« David Bowie incarne un certain monde mature, avec sa sexualité, ses menaces, autant de choses qui caractérisent le monde des adultes. Comme par ailleurs nous savions depuis le début qu’il fallait qu’il chante, puisque nous avions pensé qu’il serait amusant d’introduire de la musique rock dans un film fantastique, le choix était facile : David est l’un des meilleurs, sinon le meilleur chanteur/acteur du moment, et il offrait l’avantage de pouvoir être à la fois séduisant, menaçant, inquiétant… » (L’Écran Fantastique n°77 – février 1987)
ADIEU BOWIE…
L’immense artiste David Bowie est décédé d’un cancer à l’âge de 69 ans…
L’AFFICHE : ENEMY (1985)
Pour le plaisir des yeux, le talent d’un artiste, les souvenirs ou tout simplement la découverte d’une œuvre méconnue : L’AFFICHE !
Après son making of que je vous proposais hier, restons sur ENEMY et attardons-nous le temps d’un article sur sa très belle affiche.
La version présentée ici fut utilisée en France à l’époque de la sortie du film, sauf qu’elle possédait bien sûr le titre et sa fiche technique. J’ai volontairement choisi cette version épurée de tout texte pour mettre en valeur le dessin.
On y voit Davidge en train d’hurler (scène du début durant la bataille spatiale), derrière lui se situe la station spatiale militaire et à ses côtés se trouve son ennemi guerrier Drac, tandis que leurs deux chasseurs foncent tout droit vers l’inhospitalière Fyrine IV dont on découvre la surface rocheuse. Un ciel bleu-mauve étoilé nous dévoile trois planètes apparemment réalisées à l’aérographe. L’affiche nous plonge tout de suite dans l’ambiance de ce space opera, on nage en pleine science-fiction pure et dure.
Comme dans la plupart des cas, je ne sais malheureusement pas qui est l’artiste à l’origine de cette affiche. Je me rappelle en tout cas que le Sci-Fi Club de Nouvelle-Calédonie en avait fait l’acquisition dans sa version géante qui couvrait toute la surface de l’un des murs de sa pièce vidéo ! Elle y resta longtemps.
La version américaine, assez belle également, présente Davidge et le Drac dans un face à face centré sur leurs visages avec un fond spatial (vous pouvez la voir dans la cosmofiche).
- Morbius – (CosmoFiction)
Également dans la catégorie L’Affiche :
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