GOLDO ET ULYSSE 31, UNE BELLE PRISE !
Il reste encore un peu de 80′s à Nouméa, très précisément dans un magasin de jouets du centre ville : Le Coffre à Jouets, pour ne pas le citer ! Alors que je m’y rendais pour son arrivage STAR WARS : LE RÉVEIL DE LA FORCE, voilà que je découvre au hasard d’un virage, au fin fond de la boutique, la grande figurine d’Ulysse 31 (version High Dream) et un Goldorak (version tête-tirelire High Dream) ! Mes yeux me sont littéralement sortis de la tête (enfin presque !). Ce n’est pas tous les jours qu’on trouve ce genre de produits en vente sur le Caillou ! Ils sont maintenant bien à l’abri chez moi. À signaler : il reste encore deux ou trois Goldo si ça intéresse les Cosmophiles calédoniens…
- Morbius – (CosmoFiction)
TÉLÉ JUNIOR N°27 – Avril 1982
Je me souviens très bien avoir eu ce numéro entre les mains à l’époque ! Par contre, je ne connaissais pas encore SAN KU KAI car la série n’était pas diffusée en Nouvelle-Calédonie.
Télé Junior, je l’ai acheté pendant longtemps ! J’adorais ce magazine qui reprenait les héros de mes séries préférées (GOLDORAK, L’HOMME DE L’ATLANTIDE, LES MYSTÈRES DE L’OUEST, GALACTICA, L’HOMME QUI VALAIT TROIS MILLIARDS…) pour les adapter en bandes dessinées dans des histoires complètes, même si elles n’étaient pas toujours très bien dessinées, et même si je n’étais plus vraiment un « junior » mais plutôt un ado ! Je l’achetais chaque semaine lorsqu’il paraissait en version hebdomadaire, et souvent Télé Junior offrait à ses lecteurs des posters sur des séries ou des films de SF et de fantastique, des posters qui atterrissaient forcément sur les murs de ma chambre, comme celui du CHOC DES TITANS de 1981 !
Comme je regrette aujourd’hui de m’être débarrassé, il y a très longtemps de ça, de ma pile de Télé Junior…
- Morbius – (CosmoFiction)
COSMOLECTURES : NOS ANNÉES TEMPS X
Je l’ai reçu il y a deux jours. Je ne l’ai pas encore lu mais seulement survolé. Et, bien sûr, je n’ai pas pu m’empêcher de lire à droite et à gauche quelques encadrés, quelques informations et pages consacrées à tel ou tel film, telle ou telle série télévisée, et surtout quelques petits secrets de cette émission culte, de cette « histoire de la science-fiction à la télévision française », je veux parler de l’irremplaçable TEMPS X des Bogdanoff. Avec Nos Années Temps X, je replonge dans une période extraordinaire de ma vie : les années 80…
Si TEMPS X est apparu à la télévision française dès 1979, il faudra malheureusement attendre 1983 pour la Nouvelle-Calédonie. J’avais eu des échos de cette formidable émission qui parlait régulièrement de SF et de fantastique, et bien entendu je mourais d’envie de la découvrir. Je fus donc heureux quand la programmation de TEMPS X eut enfin lieu sur le Caillou, d’autant plus que l’émission que je découvrais pour la première fois présentait en avant-première la bande-annonce américaine du RETOUR DU JEDI ! Quel choc pour le fan de STAR WARS que j’avais toujours été ! Et comme j’avais bien prévu mon coup, mon magnétoscope avait tout enregistré soigneusement ! Par la suite, je reverrai des dizaines et dizaines de fois cette bande-annonce avant de découvrir enfin le film sur grand écran.
Si mes souvenirs sont bons, TEMPS X était diffusé le samedi après-midi en Nouvelle-Calédonie. Je ne ratais jamais un seul rendez-vous. Et j’avais donc pris l’habitude d’enregistrer sur VHS les émissions, parfois dans leur totalité (mais cela finissait par me coûter cher en cassettes !), parfois seulement par rapport à ce qui m’intéressait : des bandes-annonces, des interviews, des making of, et le maximum d’épisodes de LA QUATRIÈME DIMENSION, d’AU-DELÀ DU RÉEL et de tant d’autres que je découvrais pour la première fois ! Je me constituais ainsi assez rapidement une jolie petite collection de documents vidéo sur la SF et le fantastique qui me servira, quelques années plus tard, au Sci-Fi Club.
Et puisque nous parlons du Sci-Fi Club, inutile de préciser que cette association, du moins à ses débuts, doit beaucoup à TEMPS X. Il est évident que nous nous sommes inspirés de son fonctionnement pour parler SF et fantastique au sein du club. TEMPS X prenait l’Imaginaire au sérieux car c’était des passionnés qui en parlait, en outre l’émission touchait à tous les domaines : cinéma, littérature, séries télévisées, BD… Après quelques années d’existence, le Sci-Fi Club proposera lui aussi à ses adhérents des films, des séries télévisées, il animera des débats sur divers sujets de science-fiction ou de fantastique grâce à ses journées à thème, il présentera des auteurs, des romans, il s’intéressera à des artistes, etc. Certes, nous étions loin d’être des Bogdanoff , mais l’influence de TEMPS X était indéniable…
Dans Nos Années Temps X, écrit par Jérôme Wybon et Jean-Marc Lainé (éd. Huginn & Muninn), ce sont les neuf saisons de l’émission culte qui sont passées en revue. On débute ainsi en 1979 pour finir en 1987 dans un ouvrage de plus de 230 pages. Chaque période présentée est accompagnée de documents en rapport avec les sujets traités dans TEMPS X durant l’année en question. C’est ainsi que, par exemple, le chapitre consacré à la seconde saison de 1979-1980 nous propose des pages sur Giger (ALIEN oblige !), MAD MAX, STAR TREK : LE FILM, C’ÉTAIT DEMAIN, mais aussi Moebius, Bilal, Arthur C. Clarke…
Nos Années Temps X nous dévoile aussi l’origine de TEMPS X, sa musique, ses collaborateurs, bref, son making of, car « pour la première fois les frères Bogdanoff ont accepté de dévoiler leurs archives personnelles » !
On finit par la quatrième de couverture tout en vous recommandant vivement ce livre (et tout en faisant un joli bras d’honneur à tous les imbéciles qui aiment dénigrer les Bogdanoff pour le plaisir !) :
« 1979 : un véritable OVNI atterrit sur les petits écrans. Deux extraterrestres sont aux commandes de ce vaisseau TEMPS X. Leur nom ? Igor et Grichka Bogdanoff. Dix ans durant, ces jumeaux, en tenue argentée vont parler science-fiction, fantasy, comics, effets spéciaux… comme jamais personne ne l’avait fait auparavant à la télévision.
Revivez les neuf saisons de ce programme désormais culte et parcourez cette décennie foisonnante durant laquelle des films (LA GUERRE DES ÉTOILES, ALIEN, E.T., DARK CRYSTAL, STAR TREK…) des séries (LA QUATRIÈME DIMENSION, LE PRISONNIER, DOCTOR WHO…), des bandes dessinées (Métal Hurlant, Valérian et Laureline, La Trilogie Nikopol…) et des créateurs de génie (H.R. Giger, Gerry Anderson, Carlo Rambaldi, Arthur C. Clarke…), ont révolutionné pour toujours la culture populaire. »
- Morbius – (CosmoFiction)
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COSMOCRITIQUE : ELECTRIC DREAMS (1984)
La catégorie Cosmocritique accueille les anciennes « critiques » publiées dans les numéros des années 80 de CosmoFiction Fanzine. L’équipe était alors très jeune. Notre passion se lisait à travers nos textes et notre engouement aveuglait parfois notre sens critique ! Mais peu importe, au moins nous vivions intensément nos rêves sans nous soucier du « qu’en-dira-t-on ».
Sympathique film que cet ELECTRIC DREAMS ! Rien que d’évoquer son titre la musique me revient déjà en tête ! Cette critique, écrite par Alain, est parue dans le numéro 8 de CosmoFiction Fanzine première génération de juillet 1985.
L’histoire : « Un ordinateur se trouve doté d’émotions humaines à la suite d’incidents techniques. Pire : il tombe amoureux de la même femme que son propriétaire. » (cinemovies.fr)
Le meilleur qualificatif qui conviendrait pour évoquer l’univers d’ELECTRIC DREAMS serait, je crois, « divertissant ». Divertissant par son caractère plutôt comique, par son histoire mêlant admirablement le fantastique au romantisme et par sa musique qui ne fait qu’amplifier l’attractivité du film (cette dernière donnant au film l’aspect d’un immense vidéo-clip, ce qui est sûrement volontaire vu que Steve Barron, le réalisateur, est un expert en la matière ayant déjà réalisé une centaine de clips dont le fabuleux « Billie Jean » de Michael Jackson). ELECTRIC DREAMS possède en fait tous les atouts pour attirer un large public, et en particulier un public jeune.
Toutefois, le fantastique n’occupe pas une place importante dans le film. Cependant il faut avouer qu’il est habilement utilisé, nous permettant, fanatiques de science-fiction que nous sommes, de pleinement l’apprécier. Steve Barron a su introduire dans ELECTRIC DREAMS une juste dose des thèmes en vogue actuellement, il va sans dire que le résultat ne pouvait qu’être brillant.
- Alain – (CosmoFiction)
Également dans la catégorie Cosmocritique :
Gremlins / Terminator / Les Goonies / 2010, l’Année du Premier Contact / Les Aventuriers de la Quatrième Dimension / Histoires Fantastiques / Hellraiser, le Pacte / Cocoon / Princess Bride / Running Man / Miracle sur la 8e Rue / Starman / Legend / Incidents de Parcours / Superman IV : le Face à Face / Retour vers le Futur / Labyrinthe / Génération Perdue / Starfighter / Hidden / Le Blob / Willow / Les Maîtres de l’Univers / Elmer, le Remue-Méninges / Retour vers le Futur 2 & Retour vers le Futur 3 / Dolls / Les Sorcières d’Eastwick / La Folle Histoire de l’Espace / Brazil / Androïde / L’Amie Mortelle / Flic ou Zombie / Vampire… vous avez dit Vampire ? 2
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VAMP DES 80′s : PERSIS KHAMBATTA
Cette catégorie vous propose de rencontrer quelques-unes des vamps qui ont marqué les films ou les séries télévisées fantastiques et de science-fiction des années 80, et qui ont marqué durablement la mémoire des fantasticophiles !
Persis Khambatta est une actrice indienne née à Bombay le 2 octobre 1948. Elle est surtout connue pour son rôle du Lieutenant de la planète Delta, Ilia, dans STAR TREK : THE MOTION PICTURE (de Robert Wise, 1979).
C’est à l’âge de 13 ans que Persis Khambatta fait ses débuts devant les caméras pour des publicités de la marque de savon Rexona. En 1965, à 17 ans, elle devient Miss Inde et se lance alors dans une carrière de mannequin. Elle sert de modèle pour Air India, Revlon et Jardin Vareli.
Bollywood l’accueille en 1967 dans BAMBAI RAAT KI BAHON MEIN où elle joue le rôle d’une chanteuse de cabaret. Elle obtient ensuite de petits rôles avant d’être choisie pour incarner la Deltane Ilia du premier STAR TREK cinématographique, en 1979. Les Deltans étant chauves, Persis Khambatta accepte qu’on lui rase totalement les cheveux pour le rôle… Les spectateurs et les trekkies de tous pays découvrent alors l’incroyable beauté de cette femme. Même chauve, Persis Khambatta, âgée de 31 ans au moment du film, rayonne comme jamais à bord du nouvel Enterprise. Elle sera nominée au Saturn Award de la meilleure actrice pour son rôle du Lieutenant Ilia, un personnage sensible et fragile qui marquera beaucoup les trekkies et trekkers.
Persis Khambatta enchaîne ensuite, en 1981, avec le film policier LES FAUCONS DE LA NUIT où elle joue aux côté de Sylvester Stallone, puis ce sera MEGAFORCE (un incommensurable navet de science-fiction…), LE CHEVALIER DU MONDE PERDU (en 1983) et PHOENIX THE WARRIOR (en 1988). Elle devait incarner la James Bond Girl d’OCTOPUSSY (1983), mais Maud Adams sera finalement choisie à la place…
Persis Khambatta est également apparue dans des séries télévisées comme MacGYVER (en 1985) et MIKE HAMMER. En 1993, elle apparaît pour la dernière fois. Elle incarne alors le président du Congrès des Nations dans l’épisode pilote de LOIS & CLARK, LES NOUVELLES AVENTURES DE SUPERMAN.
Cinq ans plus tard, le 17 août 1998, les cigarettes et le café dont elle abuse chaque jour un peu plus depuis des années ont raison d’elle. Persis Khambatta entre à l’hôpital. Elle souffre de violentes douleurs à la poitrine. Elle meurt le lendemain, à Bombay, d’une crise cardiaque massive. Elle n’avait que 50 ans…
D’elle, je n’ai vu que trois films : STAR TREK, bien sûr, où je l’ai adorée en Deltane, et ensuite MEGAFORCE au cinéma puis, plus tard en VHS, LES FAUCONS DE LA NUIT. Je cherchais alors désespérément, dans les années 80, à la retrouver dans des films. Elle n’a malheureusement jamais percé au cinéma où on ne lui offrait que des rôles sans valeur.
Pour finir, voici une vidéo du making of de STAR TREK : THE MOTION PICTURE. Persis se fait raser les cheveux. Elle en est tout émue et en pleure, la pauvre…
- Morbius – (CosmoFiction)
LA BATAILLE DES PLANÈTES : « La Menace de la Lune de Jupiter »
C’est vendredi ! En avant pour un épisode de LA BATAILLE DES PLANÈTES !
COSMOPAGE : JEUX – NUMÉRO 5 – JANVIER 1990
CosmoFiction ayant été un fanzine avant de devenir un blog, nous vous présentons régulièrement des pages de ses vieux numéros scannés. Un retour à une époque où les fanzines étaient faits à partir de collages, de marqueurs indélébiles et de machines à écrire !
Une rubrique jeux apparut dans ce numéro 5 de CosmoFiction Fanzine nouvelle génération. Tenue par Mandragore et moi-même, elle revint dans le sixième et dernier numéro du zine. Ici, rien à gagner, juste le plaisir de jouer dans des « trivia-test » plutôt faciles pour le fantasticophile averti et des mots croisés plutôt… hum… plutôt costauds ! Une chance : les solutions étaient au verso !
- Morbius – (CosmoFiction)
Également dans la catégorie Cosmopage :
Couverture du numéro 8 – juillet 1985 / Éditorial du numéro 1 – avril 1988 / Couverture du numéro 14 – février 1986 /Dessin de Pumpkinhead – janvier 1990 / Couverture du numéro 1 – avril 1988 / Star Blagues – août 1988 /Couverture du numéro 11 – octobre 1985 / Portrait de John Carpenter – novembre 1988 / Couverture du numéro 12 – décembre 1985 / Portrait de Sigourney Weaver – août 1988 / Rétrospective E.T. – août 1988 / Interview exclusive d’Hélène Oswald – janvier 1990 / Portrait de Tobe Hooper – août 1988 / Couverture du numéro 6 – avril 1991 /Couverture du numéro 17 – août 1986 / BD « Vampires ! » – numéro 11 – octobre 1985 / Couverture du numéro 5 – janvier 1990 / Rubrique Cosmolectures – numéro 6 – avril 1991 / L’alien Giger – numéro 5 – janvier 1990 / Dossier Evil Dead – numéro 2 – juin 1988 / L’univers des jeux de rôle – numéro 2 – juin 1988 /Couverture du numéro 4 – mars 1985 / Zone critique – numéro 4 – novembre 1988 / Affiche des 24H du Fantastique – numéro 3 – août 1988 / Le Domaine du Fanatique – numéro 9 – août 1985 / Les Feuillets d’Hypnos – numéro 4 – novembre 1988 / Couverture du numéro 4 – novembre 1988 / Le Domaine du Fanatique – numéro 3 – août 1988 / Le Domaine du Fanatique – numéro 4 – novembre 1988 /Hommage à Star Wars – numéro 2 – juin 1988 / Star Blagues – numéro 2 – juin 1988 / News from Outer Space – numéro 5 – janvier 1990 / Couverture du numéro 3 – août 1988 / Couverture du numéro 7 – janvier 2016 / Sous la baguette de John Williams – numéro 2 – juin 1988 / Vidéo Écran – numéro 14 – février 1986 / BD « Se méfier d’un Wookie » – numéro 17 – août 1986
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