MUSIQUE : TRON (1982)
La bande originale du film TRON de Steven Lisberger (1982) est l’œuvre de Wendy Carlos. Pour la petite histoire, Wendy Carlos fut d’abord un homme, Walter Carlos, avant de devenir une femme…
Wendy Carlos a toujours été passionnée par la musique électronique, à tel point qu’elle n’a pas hésité à adapter et interpréter des oeuvre baroques et classiques sur son synthétiseur modulaire Moog. Ses multiples talents ont été maintes fois reconnus. Elle a composé les musiques des films ORANGE MÉCANIQUE, SHINING et bien sûr TRON 1982, une inévitable et mémorable rencontre entre les ordinateurs, les synthétiseurs et l’orchestre philarmonique de Londres pour une B.O. originale et de grande qualité.
Un site propose l’écoute totale, ou de quelques extraits, des 58 minutes de la B.O. de TRON 1982 en version remasterisée : musicme.com. Cliquez dans la playlist, ou sur le petit lecteur de droite, pour en profiter. Vous pouvez également y acheter la B.O. si le coeur vous en dit.
Pour en savoir plus sur Wendy Carlos, cliquez ici.
- Morbius – ( CosmoFiction)
Autres extraits dans la catégorie Musique :
Retour vers le Futur / The Goonies « R » Good Enough / E.T. / Les Mercenaires de l’Espace / Contamination / Flash Gordon / Dune /Leviathan : Main Titles – Underwater Camp / Le Guerrier de l’Espace – Main Title / Star Trek III : Bird of Prey Decloaks /Mad Max 3 : We don’t Need Another Hero / Predator : Main Title / Ghostbusters / Ladyhawke : Main Title / Conan le Barbare : Prologue – Anvil of Crom / Craig Safan dirige l’orchestre pour Starfighter / Dar l’Invincible – Main Theme / Are You Ready For Freddy ? / He’s Back, the Man Behind the Mask / Radio Ga Ga / Une nouvelle version de la musique d’Ulysse 31 /Psycho Therapy /Bye, James Horner… / Vampire, vous avez dit Vampire ? : Give it up / Freddy Krueger – Stormtroopers of Death
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RETOUR VERS LE FUTUR 2 : C’EST LE JOUR J !
Et nous y voilà enfin ! Nous sommes le 21 octobre 2015 et… et je vois la DeLorean arriver ! Pas vous ? Mais si, mais si, regardez bien ici !
RETOUR VERS LE FUTUR 2 : VIDÉOS
Aujourd’hui CosmoFiction vous propose deux petites vidéos (en V.O.) sur RETOUR VERS LE FUTUR 2. D’abord le making de la séquence des hoverboards (le mythe est brisé !) puis quelques bloopers (scènes ratées) du film. Et c’est demain le 21 octobre 2015 ! Vous savez très bien ce que ça veut dire, nom de Zeus !
L’AFFICHE : RETOUR VERS LE FUTUR (1985)
Pour le plaisir des yeux, le talent d’un artiste, les souvenirs ou tout simplement la découverte d’une œuvre méconnue : L’AFFICHE !
J’aurais voulu vous proposer différentes affiches internationales des RETOUR VERS LE FUTUR, mais il semble à l’évidence que les versions de Drew Struzan soient les préférées, tous pays confondus ! Et forcément, quand on voit la beauté de ses œuvres (voir l’affiche définitive de STAR WARS VII ici) on peut comprendre pourquoi nul artiste n’ose remplacer ses affiches par d’autres. Cependant, j’ai fini par dénicher sur le web cette version (suédoise ?) assez originale et plutôt bien conçue, où la rencontre de Marty et de ses parents, chaque modèle de voiture indiquant l’époque en question. Même si cette affiche de RETOUR VERS LE FUTUR s’inspire quelque peu de celle de Drew Struzan (notamment au niveau des effets de lumière émanant de la DeLorean), ce n’est assurément pas du Struzan. Joli tout de même.
- Morbius – (CosmoFiction)
Également dans la catégorie L’Affiche :
Galaxina / La Galaxie de la Terreur / Star Crystal / Crime Zone / Forbidden World / Nightflyers / Space Raiders / Les Mercenaires de l’Espace / Contamination / L’Humanoïde / Deathstalker / Les Aventures de Jack Burton / Le Retour de Godzilla / New York 1997 / Le Bateau de la Mort / L’Épée Sauvage / The Deadly Spawn / Future-Kill / Terreur Extra-terrestre / The Terror Within / Time Walker / Le Démon dans l’Île / Frayeurs /Mind Warp, an Infinity of Terror / Onde de Choc / Robot Killer / Yor, le Chasseur du Futur / La Septième Dimension / The Brain / Les Captives de l’Espace / La Quatrième Dimension / Toxic Zombies /La Tour de l’Angoisse / Mad Max : des affiches / Slugs / Des Goonies et des affiches / Dune / Le Trou Noir / Street Trash / Dreamscape / Le Choc des Titans
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RETOUR VERS LE FUTUR : L’AVIS DES CRITIQUES
On reprend d’aplomb notre petit mois RETOUR VERS LE FUTUR à l’occasion de l’arrivée de notre DeLorean favorite le 21 octobre 2015 ! Voici pour aujourd’hui quelques critiques et avis divers publiés dans divers ouvrages.
L’Année du Film Fantastique 85/86 (éd. Bédérama, 1985), critique de Dominique Monrocq :
« Thème primordial de la littérature de science-fiction, le voyage dans le temps fascine les imaginations depuis toujours. Les films sur le sujet ayant beau faire preuve de diversité (de JUST IMAGINE à C’ETAIT DEMAIN, sans oublier le sublime LA MACHINE À EXPLORER LE TEMPS), Robert Zemeckis déclare ne trouver aucune satisfaction lorsqu’un personnage atterrit dans un avenir qui nous est radicalement étranger, parce qu’il est impossible de se rattacher à quoi que ce soit. Qu’à cela ne tienne ! Dès les premières secondes de RETOUR VERS LE FUTUR, on inculque au spectateur tout ce qu’il doit connaître sur les années 50. Puis, à l’aide d’un petit tour de passe-passe agrémenté d’un savant fou et de terrorristes libyens, le héros Marty est propulsé dans le passé… et va jeter le trouble sur les circonstances de sa naissance.
Refusant de s’embarrasser des dilemnes du paradoxe temporel, Zemeckis mène son action à tambour battant, la parsemant de questions à suspense (Marty va-t-il résister aux avances de sa future mère, réussira-t-il à regagner son époque ?). Il conjugue l’humour à tous les temps (les automatismes hors de contrôle de Doc, la poursuite en skateboard, Marvin Berry et son cousin Chuck), passant de futur antérieur au passé simple avec aisance. Quoi que puisse faire ce voyageur impatient, le futur (enfin le présent de Marty…) ne subira aucune modification dramatique. Les changements se limitent à l’anodin (le centre commercial des deux pins n’est plus caractérisé que par un arbre solitaire) ou au bénéfique (le nouvel environnement familial). Comme tant d’autres œuvres où Spielberg agit de près ou de loin, RETOUR VERS LE FUTUR est un conte de fées moderne irrémédiablement typé par sa géographie à défaut d’être prisonnier du temps. Où, ailleurs qu’en Californie, peut-on envisager un véhicule temporel camouflé dans une voiture DeLorean, un teenager rêvant devant un 4 x 4 flambant neuf ? Sans oublier la concrétisation du fantasme le plus cher de chaque automobiliste, quant à la fin… Mais chut ! c’est une surprise ! »
L’Encyclopédie de la Science-Fiction (éd. Jacques Grancher, 1996), de Jean-Pierre Piton et Alain Schlockoff :
« Le charme du film repose essentiellement sur des personnages bien typés, interprétés par les mêmes acteurs, qu’ils aient l’âge de l’adolescence ou qu’ils approchent de la cinquantaine. [...] Un autre élément de sa réussite tient au choix des années 50 reconstituées avec précision et qui, au cours de la décennie 1980-1990, apparaissent comme une époque de rêve. [...] Ce dosage réussi d’humour et de nostalgie a beaucoup fait pour le succès du film qui a totalisé une recette mondiale de 350 millions de dollars. »
Guide Totem : La Science-Fiction (éd. Larousse, 1999), de Lorris Murail :
« Légère, amusante et sympathique, la comédie de Zemeckis (produite par Spielberg) a rencontré un immense succès. Le charme de ses acteurs, le soin apporté à la reconstitution des scènes situées dans les années 50 y sont sans doute pour beaucoup. Un succès que ne rencontrèrent pas les deux suites tournées consécutivement en 1989 et 1990 (RETOUR VERS LE FUTUR 2 et 3), pourtant plus ambitieuses. Le deuxième film, sombre, au scénario élaboré, envisage un univers alternatif engendré par les manipulations temporelles des protagonistes. Dans le troisième, les héros voyagent vers le passé, et se retrouvent en 1885, dans un contexte western. »
Les Films de Science-Fiction (éd. Cahiers du Cinéma, 2009), de Michel Chion :
« Ce qui devient exaspérant dans la trilogie et commence à l’être déjà dès le premier épisode, est l’insensibilité totale du personnage de cet éternel jeune homme à la dimension extraordinaire, poétique, fascinante bien sûr, de ce qu’il est en train de vivre, même lorsqu’il a compris qu’il a rencontré sa mère. Le talent de Michael J. Fox n’est pas en cause, et on comprend que cette insensibilité est nécessaire au film pour lui éviter de tomber dans le scabreux. [...]
Le deuxième épisode, simplement titré RETOUR VERS LE FUTUR II, est, nous l’avons dit, à la fois plombé et dopé par l’absence au générique de Crispin Glover. Du coup, privé de ce personnage crucial, le film doit en rajouter dans les situations loufoques. Les paradoxes temporels, les aller-et-retours du « passé » au « futur » pour remodeler un « présent » sans cesse changeant sont multipliés de manière frénétique, à en donner le mal au cœur, d’autant que Marty et Doc ne cessent de répéter le duo de l’Auguste et du clown blanc. [...]
Tourné dans la foulée du deuxième épisode, RETOUR VERS LE FUTUR III envoie Doc et Marty dans le passé, en 1885, dans une ville de western où ils s’établissent. Le film se décentre alors, et le véritable héros devient Doc, à qui le scénario offre une fiancée en la personne de Mary Steenburgen, qui fut la partenaire d’H. G. Wells dans C’ÉTAIT DEMAIN, 1979. Leur couple et quelques gags heureux à la Lucky Luke permettent de supporter l’insignifiance grandissante du rôle de Marty, qui devient dans l’histoire le rabat-joie. C’est la revanche du savant fou, un savant dont les inventions ici ne provoquent aucune catastrophe, mais un vrai savant, vibrant, et non un jeune crétin. »
100 Ans et Plus de Cinéma Fantastique et de Science-Fiction (éd. Rouge Profond, 2013), de Jean-Pierre Andrevon :
« Au prix de ce qui reste au premier degré une teenage comedy bondissante, drôle, intelligente, le film fonctionne à vitesse grand V, merveilleusement interprété par le juvénile Michael J. Fox et Christopher Lloyd en caricature de savant fou, mais dont les (discrets) ingrédients SF tournant autour des différents paradoxes sont toujours joliment amenés. »
LA DELOREAN CHEZ VOUS !
Oui, mais en papercraft, bien sûr ! D’abord ça coûte bien moins cher, hein, et ensuite ça prend beaucoup moins de place. Bon, d’accord, c’est pas pratique si on veut voyager dans le temps car ce n’est pas franchement évident d’entrer à l’intérieur, je vous l’accorde. Voilà cependant un joli papercraft qui vous occupera ce week-end. Et n’oubliez pas d’écouter, pendant que vous le réaliserez, la B.O. du film signée Alan Silvestri !
Vous trouverez votre DeLorean sur ce site.
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RETOUR VERS LES PHOTOS DU FUTUR
Ah, le futur ! 2015… On se l’imaginait forcément, comment dire… très futuriste en 1989, mais aussi très coloré, à l’image des vêtements des années 80. On y voyait même de jolies voiturettes de police conduites par de non moins jolies petites policières, des skateboards volants, des voitures volantes, des JAWS à n’en plus finir ! Mais nan… 2015 c’est pas ça… La réalité est bien plus cruelle… 2015 ? C’est des zombies téléguidés au Smartphone, des selfies jusque dans les chiotes, des réseaux sociaux à la philosophie de comptoir, des voitures qui ne volent toujours pas mais qui polluent toujours autant, pas de JAWS à n’en plus finir mais des super héros à en vomir, et puis surtout des terroristes qui font la pluie et le beau temps sur la planète bleue devenue rouge sang… Bref, le futur quoi… le vrai…
Petite sélection de photos (allemandes) de ce qu’aurait dû être le futur en 2015 si Marty n’avait pas déréglé la ligne du temps. Sacré Marty.
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RETOUR VERS LE FUTUR 2 : PUB PEPSI PERFECT ET JAWS 19 !
On en parlait hier : Pepsi Perfect devient une réalité dans quelques jours pour une poignée de chanceux (6500) et de geeks prêts à débourser la somme qui convient pour l’acheter ! Voyez plutôt cette pub sympa réalisée à l’occasion par Pepsi. Et puis on en profite aussi pour y glisser la (fausse) bande-annonce du fameux JAWS 19 que RETOUR VERS LE FUTUR 2 annonçait pour 2015 sous la forme d’un hologramme (cliquez ici pour la voir). Universal est de la partie et s’amuse visiblement beaucoup. Tant mieux pour nous, on apprécie !
- Morbius – (CosmoFiction)